LES PLUS ÉBLOUISSANTS TÉMOIGNAGES DE
GUÉRISONS
MIRACULEUSES
Témoignages crédibles des miracles de guérison
opérés par Jésus aujourd'hui,
inexpliqués par la science,
les critères de l'Église plus intransigeants
que ceux des médecins, leur avis...

On est bien obligé de croire à l'impossible !
Sommaire de la page
Maître des forces de l'Univers
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Miracles d'hier
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Spectaculaires théophanies
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Miracles plus discrets
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Guérison, délivrances et résurrections
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Miracles de guérison d'aujourd'hui : des témoignages crédibles de guérisons miraculeuses
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Guérisons des maladies de l'esprit (vidéos)
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Guérisons des maladies du corps (vidéos)
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Malade de la sclérose en plaque et dans un fauteuil roulant ; la 70e miraculée de Lourdes ; Richard Borgman l'alpiniste dévisse ; Véronique l'athée, etc.
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Les étonnantes guérisons, sur place et à distance, lors de la prière des malades à Saint-Nicolas-des-Champs, Paris
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Médecins et guéris
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Guérisons d'autres anonymes, gens ordinaires
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Les critères intransigeants de l'Église pour reconnaître un miracle font passer à la trappe de nombreuses guérisons inexpliquées
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La triple signification du miracle pour l'Église
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L'avis d'un médecin expert
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Guérisons du corps, suite : l'humour de Jésus et ses guérisons inouïes à travers le Père Emiliano Tardif : guérisons d'enfants, cancéreux, sourd de naissance, partie d'encéphale manquant, musulmane, pied gangréné…
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Maureen ne croyait pas aux miracles
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Pourquoi ne guérit-il pas tout le monde s'il est si bon ?
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Guérisons en direct et à distance, "paroles de connaissance"
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Un livre témoignage exceptionnel : Bernard Dihl, guéri le premier jour, converti le second et devenu un apôtre du Christ du XXIe siècle
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Prières de guérison miraculeuse du Padre Pio et de Saint Pérégrin pour la maladie, le cancer, etc.
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Pour en savoir plus


Quand Jésus marchait sur le lac de Tibériade il y a 2000 ans
Jésus n'est pas un hypothétique Dieu qui aurait existé il y a 2000 ans, prêchant et réalisant des prodiges, avant de mourir à jamais.
Jésus est ressuscité, vivant, et le confirme depuis deux millénaires en donnant des signes concrets de Sa Présence, de Sa Puissance, avec un effet immédiat : conversions improbables, délivrances d'addictions et d'emprise du mal, guérisons de maladies psychiques et physiques les plus graves et les plus lourdes, personnes décédées accidentellement revenant à la vie proclamant qu'elles l'ont vu, autant de miracles inexpliqués par la science et pourtant sans supercherie, tant les témoignages sont variés et les critères médicaux, sévères.
Dieu aimant chaque homme, il guérit parfois des non-croyants ou des personnes non-chrétiennes, mais il donne un indice : ces phénomènes n'existent en grand nombre qu'au sein du christianisme et c'est toujours sous son seul nom de Jésus qu'elles se produisent, authentifiant Sa Parole biblique. Ni Bouddha ni Mahomet ne peuvent en dire autant.
Les miracles de Jésus sont des actes de puissance destinés à établir le Règne de Dieu, qui ne tolère ni mal ni souffrance, contre la domination de Satan, l'ennemi de Dieu et de ses protégés, les hommes.
Des cancéreux perdus qui guérissent en quelques secondes ? Dieu sème aussi des miracles pour interpeller, éveiller la curiosité.
Au XXIe siècle, Jésus poursuit donc son œuvre de guérison, d'écrasement du mal et de salut commencée jadis, dévoilant la Bonté, la Compassion de son Être à partir de son action, semant aussi des signes de l’Existence de Dieu... sauf à vouloir s'aveugler obstinément.
Maître des forces de l'Univers
« Des nuées, tu te fais un char, tu t’avances sur les ailes du vent ; tu prends les vents pour messagers, pour serviteurs, les flammes des éclairs. »
(Psaume 103 (104))
MIRACLES DE GUÉRISON D'HIER
Maître des éléments, du temps, de l'espace et de la matière, Dieu s'est d'abord révélé aux hommes par des théophanies (manifestations de Dieu) utilisant et dominant les forces et lois de la nature : par exemple, passage à sec de la mer Rouge des hébreux, Jésus transformant l'eau en vin lors d'un mariage, marchant sur l'eau du lac de Tibériade et calmant la tempête, guérissant instantanément des lépreux, paralytiques, possédés, ressuscitant des morts.
Pour prendre connaissance des arguments apportant de la crédibilité à ces événements d'hier rapportés dans la Bible, lire sur ce site la page Fiabilité de la Bible. Pour lire le récit des plus importants miracles opérés par Jésus dans les Évangiles, lire sur ce site la page Miracles de Jésus en Palestine.
Spectaculaires théophanies
Dieu peut effectuer des miracles spectaculaires qui marquent les esprits. On en trouve le récit dans la première partie de la Bible, l'Ancien Testament.
Pour révéler aux hommes Sa Présence, Son existence, ses miracles d'une puissance inouïe ont alors été visibles par une multitude d'hommes tout à la fois. Ils ont tant impressionné les Hébreux qu'ils ont demandé à ne plus traiter en direct avec Lui mais avec un intermédiaire. Il leur a donc envoyé de nombreux prophètes pour les guider.
Mais la mémoire des hommes s'efface au fil du temps, ils s'éloignent toujours de Dieu à une période donnée pour retourner.. au mal. Mais Dieu, dans son infinie patience, tend la main, appuyant Sa Parole par de nouveaux miracles. Les hommes reviennent alors vers lui pour ensuite repartir, dans un éternel va-et-vient mal-Dieu-mal-Dieu. Ce qui frappe dans la lecture de la Bible, c'est non seulement cette infinie patience de Dieu qui s'ingénie à chaque fois à ramener l'Homme vers lui, mais aussi cet amour éblouissant qu'il a pour l'Homme, lui murmurant au creux de l'oreille : « Viens vers moi, reviens vers moi, ne vas pas vers l'ennemi, il va te détruire, te rendre malheureux, te faire souffrir, je t'aime, je veux vivre avec toi, je te comblerai d'amour et de grâces. »
Quelques miracles de Jésus plus discrets
Mais la plupart du temps, ses miracles d'hier, comme ceux d'aujourd'hui, sont d'autant plus crédibles qu'ils écartent tout aspect spectaculaire et ont une apparence tout ce qu'il y a de plus discrète, au cœur même de l'ordinaire, du quotidien. Par exemple, dans le miracle de la multiplication des pains, où Jésus nourrit une foule d'au minimum 5 000 personnes avec seulement 5 pains et 2 poissons, le Fils de Dieu fait des gestes ordinaires, avec des pains et des poissons tout aussi ordinaires. Et tout au long du miracle, les choses se passent comme si justement, il ne se passait rien : il n'y a jamais plus que cinq pains et deux poissons à rompre. Ce ne sont pas des dizaines de paniers qui se remplissent d'un coup, contrairement au miracle de Cana où les jarres remplies d'eau se transforment subitement en vin. Lors de la multiplication des pains, l'abondance se déploie petit à petit. Dans la vie de tous les jours, pour chacun, lorsqu'il comble, Jésus comble toujours en abondance, au-delà du désir, du prévisible, de ce que l'on peut calculer, escompter.

Jésus change l'eau en vin lors d'un mariage à Cana, en Galilée, Palestine

Jésus nourrit 5 000 personnes avec 5 pains et 2 poissons en Galilée, Palestine
Guérisons, délivrances et résurrections
« En débarquant, il vit une grande foule de gens ; il fut saisi de compassion envers eux et guérit leurs malades. » (Matthieu 14, 14)
« Quand il fit jour, Jésus sortit et s’en alla dans un endroit désert. Les foules le cherchaient ; elles arrivèrent jusqu’à lui, et elles le retenaient pour l’empêcher de les quitter. » (Luc 4, 42)
« De grandes foules s’approchèrent de lui, avec des boiteux, des aveugles, des estropiés, des muets, et beaucoup d’autres encore ; on les déposa à ses pieds et il les guérit. » (Matthieu 15, 30)
« De plus en plus, on parlait de Jésus. De grandes foules accouraient pour l’entendre et se faire guérir de leurs maladies. » (Luc 5 ,15)
« C'était le chef de la synagogue. Tombant aux pieds de Jésus, il le suppliait de venir dans sa maison, parce qu’il avait une fille unique, d’environ douze ans, qui se mourait. Et tandis que Jésus s’y rendait, les foules le pressaient au point de l’étouffer. » (Luc 8, 41-42)
TÉMOIGNAGES DE GUÉRISONS MIRACULEUSES D'AUJOURD'HUI
Jésus les a guéris de la dépression, du cancer, de la sclérose en plaque, d'idées suicidaires, de paralysie et maladies invalidantes diverses, d'addictions à la pornographie, au sexe, à l'alcool, la drogue, etc., ils témoignent tous avec crédibilité et reconnaissance.
Témoignages de guérisons
des maladies de l'esprit et d'addictions
Ils ont été guéris dans leur esprit, souvent enténébré par ces addictions dont les hommes sont victimes depuis des millénaires (alcool, drogue, pornographie...), la pratique de l'ésotérisme (voyance, reikki, New Age...) qui ouvre les portes aux forces du mal. Perdus, drogués ou suicidaires, ils ont rencontré le Ressuscité qui les a guéris en les sortant du long tunnel noir dans lequel ils s'étaient un jour engagés sans avoir réellement conscience de signer pour une descente aux enfers.
Pour en savoir plus sur l'existence du Mal et les pratiques occultes (peut-être pratiquez vous l'occultisme sans le savoir ?), lire sur ce site la page Le diable existe-t-il ?
SETH
Une vie brisée et restaurée par Jésus
Tombé dans la drogue, perdu, suicidaire, Seth a fait la rencontre qui a sauvé sa vie.
FRANÇOIS-XAVIER
Le combat pour ne pas se suicider
Il avait touché le fond. Il se retrouve sans savoir pourquoi au Sanctuaire de Paray-le-Monial où une religieuse l'écoute et lui conseille de se rendre en une chapelle particulière...
AMANDINE
Embarquée dans l'ésotérisme sans s'en apercevoir, ça finit par très mal tourner
Cette jeune femme a témoigné en direct lors d'une soirée "prière délivrance" : adepte de l'ésotérisme, elle était sous emprise d'esprits du mal et a été délivrée par Jésus via des prêtres exorcistes.
GWENDAL
J'étais complètement
sous influence de l'occultisme
Après s'être intéressé un peu toutes les religions, puis influencé par des livres présentant un Évangile revisité, il pratique le cryo-yoga et devient capable de voir des "choses" sur les gens. Jusqu'au moment où il dévisse complètement.
Guérisons des maladies du corps
« Pour quelqu'un qui n'est pas croyant,
c'est vraiment la plus belle des manières de le rencontrer. »
Véronique, athée, guérie d'une fibromyalgie aigüe avec paralysie
Sous le nom de Jésus Christ se produisent, aujourd'hui comme hier, pas seulement à Lourdes mais dans le monde entier, des guérisons instantanées (plus rarement progressives) de maladies physiques, handicaps très lourds et incurables. Les médecins avouent que la science est incapable de fournir une explication. Les critères de l'Église, eux, sont devenus tellement sévères que bien des guérisons inexpliquées ne sont pas reconnues miraculeuses. Les témoignages, crédibles, interrogent. Notamment ceux qui se produisent à l'église Saint-Nicolas-des-Champs, à Paris, où, chaque jeudi, on prie pour la guérison des malades.
« Vos examens montrent que vous n'avez jamais eu le cancer. Ça doit être une erreur. »
Doriane, croyante sans plus, guérie d'un cancer des ovaires
Parmi les témoignages de guérison que vous allez voir ou lire, la plupart se sont déroulés par le canal des ministres de Jésus, les prêtres. Ne vous laissez pas influencer par la mauvaise conduite de certains prêtres et religieux, ce qui pourrait vous amener à douter des témoignages qui sont présenté ici. Faudrait-il, en raison des brebis galeuses (qui auront d'ailleurs à répondre à la Justice de Dieu), condamner les millions de prêtres et religieux fidèles au Christ, bons et dévoués qui, de par le monde, donnent leur vie au service des autres, soignant, guérissant, éduquant, priant ?
« J'ai dévissé et suis tombé de 50 m.
Je me suis relevé indemne. Totalement. Un homme était mort 15 jours auparavant après avoir chuté de façon identique. »
Richard Borgman, du protestantisme évangélique à la foi catholique
BERNARD DIHL
Extraordinaires guérison & conversion d'un athée : se jeter dans les escaliers en fauteuil roulant pour en finir... et devenir un apôtre des XXe et XXIe siècles
Il a une sclérose en plaque, n'en a rien à faire de Dieu, ça le gonfle même. Sa tante prie pour lui et sa guérison est annoncée par le père Tardif. Le premier jour, il est guéri, le second, il est converti, le troisième il reçoit avec puissance l'Esprit Saint de Dieu qui a fait de lui un diacre et lui a confié un ministère d'enseignement, de guérison (pour en savoir plus sur Bernard Dihl et sur les guérisons que Jésus opère à travers lui, lire plus bas sur cette page)
SŒUR BERNADETTE
Elle ne pensait pas
à sa propre guérison
Lourdement handicapée, elle se rend à Lourdes et prie pour les autres. De retour dans sa congrégation, elle entend qu'"on" lui dit...
Elle est 70e miraculée de Lourdes reconnue par l'Église catholique... et les médecins. Lire aussi son témoignage écrit.
RICHARD BORGMAN
La chute
aurait dû être mortelle
Alpiniste, il fait une chute de 50 m et se relève sain, sauf et indemne de toute blessure alors qu'une personne tombée au même endroit 15 jours auparavant est décédée sur le coup (3'50" de la vidéo). Il devient pasteur protestant, puis catholique et missionnaire.
VÉRONIQUE
Non croyante, sa maladie est éradiquée lors d'une prière de guérison
Lors d'une soirée de prières en ligne pendant le confinement, le père Antoine Coelho introduit le témoignage de Véronique, gravement malade, athée, qu'il avait invitée à venir à une prière de guérison. Elle ressent une grande chaleur...
Source : https://www.youtube.com/watch?v=2o7I9a_IgMI&t=1097s
DORIANE
Prier et avoir la foi
On lui annonce qu'elle a un cancer des ovaires. Elle s'en remet à Jésus, poursuit ses prières et suit le traitement médical. On lui déclare ensuite qu'elle ne peut avoir eu un cancer des ovaires...
Guérisons d'anonymes, personnes ordinaires
ANNE-CLAIRE
Venue pour prier
elle ressent une "grande chaleur"
Anne-Claire a été instantanément guérie d'un ménisque cassé.
ANGÈLE
Fini la chaise roulante
Angèle est guérie de nombreuses maladies et se lève de sa chaise roulante le lendemain de la prière des malades de l'église Saint-Nicolas-des-Champs (0"55).
LOUISE FLORE
Quatre maladies grave d'un coup
Louise-Flore avait un cancer du sang, mais aussi l'hépatite B, le VIH et des fibromes. Un baiser de réconciliation va entraîner une divine intervention.
ODILE
Elle avait perdu 15 kilos
et avait cessé la morphine
Palpitations, migraines, etc. Hospitalisée, les médecins ne parviennent pas à la soigner. Bien que très croyante et priante, certains la pensent possédée...
ROSETTE
L'utérus était en train de se rompre
Venue prier pour ses sœurs malades du cancer, elle ressent une grande chaleur. Elle reçoit de très grandes grâces de Jésus et de la Vierge Marie.


Les critères intransigeants de l'Église pour reconnaître un miracle font passer à la trappe de nombreuses guérisons inexpliquées
Pourquoi existe-t-il une différence entre le nombre de guérisons reconnues par les médecins et le nombre de celles reconnues par l’Église ? Ce sont les exigences plus grandes de l’Eglise en la matière. Elle étudie de près la personnalité du miraculé. Une grille de critères médicaux est appliquée. Le Comité international des médecins comprend une trentaine de membres appartenant à une dizaine de pays différents. Ce sont en général des professeurs de faculté de médecine ou des médecins des hôpitaux, tous spécialistes. Ensuite, il existe une grille de critères canoniques, parmi lesquels il convient que la guérison soit soudaine et obtenue en un instant, et aussi qu’elle soit parfaite et non pas incomplète ou partielle.
1. La guérison doit être parfaite
L’organe doit être redevenu parfaitement normal. Cette condition élimine un certain nombre de guérisons considérées comme inexplicables par la médecine. Exemple : Graziella, une aveugle de naissance dont le nerf optique est comprimé, desséché, se met brusquement à voir dans la piscine de Lourdes, où elle est plongée à l’âge de 7 ans.
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« Maman, c’est drôle, les rideaux… ça fait mal aux yeux ! »
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« Maman, tu as la tête à l’envers ! » (On sait que l’image qui se forme sur la rétine est inversée. Dans un premier temps, l’enfant n’a pas encore appris à "redresser" cette image).
Merveilleuse guérison, mais pourrait-elle être reconnue par l’Église. Son nerf optique est toujours abîmé ! Elle ne devrait pas voir puisque les images n’arrivent pas dans son cerveau ! Mais elle voit ! Elle est d’ailleurs docteur en médecine.
2. La guérison doit être instantanée
Cette autre condition élimine d’autres cas.
Exemple : Alain atteint de poliomyélite à l’âge de 14 ans, vit depuis des années dans un poumon d’acier. Lors du premier pèlerinage des polios à Lourdes, au passage du Saint Sacrement, il crie : « Débranchez l’appareil, j’étouffe ! » L’infirmière hésite évidemment à supprimer la respiration artificielle. Sur l’insistance d’Alain, elle se décide à le faire. De fait, il respire tout seul. L’année suivante, en allant à la piscine, il se rattrape avec les deux bras ! Ses bras fonctionnent à nouveau. Deux ans plus tard, il remarche. Cette guérison s’est donc opérée en trois étapes. Elle ne serait certainement pas reconnue par l’Eglise.
La triple signification du miracle pour l'Église
Pour l'Église catholique, le miracle a une triple signification
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Le Christ est vivant au milieu de son peuple et authentifie Sa Parole (les Évangiles)
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Le Christ est plein de compassion et il guérit les corps et les cœurs
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Le Christ reviendra tout renouveler
Les guérisons miraculeuses sont une anticipation de cette libération définitive à laquelle est appelée la nature matérielle. Les miracles signifient donc tout à la fois que les temps messianiques sont déjà là, que l’Esprit est à l’œuvre parmi les hommes, mais qu’il n’a pas encore déferlé sur le monde comme il le fera au dernier jour, lorsque le Christ viendra essuyer toute larme des yeux des hommes. (Ap 21, 4)
Le Nouveau Testament affirme très fortement la maîtrise sur le cosmos que possède le Christ ressuscité, devenu Seigneur de l’Univers. Cette pleine maîtrise qu’Il a déjà sur le cosmos, Le Christ la manifeste d’ailleurs de temps en temps par les guérisons instantanées qu’Il réalise dans le corps de malades qui implorent de Lui un miracle pour eux-mêmes, ou pour d'autres.
L'avis d'un médecin expert
Pour les miracles de Lourdes ou d'ailleurs, la science a son mot à dire. La guérison de Sœur Bernadette Moriau a été reconnue comme le 70e miracle par l'Église, mais pas sans que les scientifiques, là aussi, ne donnent leur avis.
Le Dr Patrick Theillier, un des médecins experts du Collège de médecins de Lourdes s'exprime longuement sur les miracles de Lourdes, les personnes qui s'y rendent, croyantes ou non (athées, musulmans, Lourdes reçoit de surprenantes visites).
On ne demande évidemment pas aux médecins de se prononcer sur la cause ultime de la guérison dont ils étudient le dossier. On leur demande simplement de dire si, dans l’état actuel de leurs connaissances, cette guérison est explicable ou non. L’Église reconnait bien volontiers que certaines guérisons peuvent s’expliquer par l’influence du psychisme sur l’organisme. C’est la raison pour laquelle le Bureau médical de Lourdes ne retient jamais le dossier d’une guérison de paralysie, si celle-ci ne s’accompagne pas de lésions organiques. Mais il est difficile d’expliquer toutes les guérisons par des facteurs d’ordre psychologique ! Qui oserait expliquer par une influence psychique la guérison, le 18 août 1938, du jeune Francis Pascal, à l’âge de 4 ans ? Sa paraplégie et sa cécité absolue, séquelles d’une méningite contractée plus tôt, ont été instantanément guéries !
Si les miracles arrivaient sur commande, ils seraient purement et simplement des actes de magie. Dieu guérit qui Il veut, quand Il le veut, et comme Il le veut.

L'humour de Jésus et ses guérisons inouïes à travers le Père Emiliano Tardif

« Jésus ne cesse de donner des preuves qu'Il est vivant
et qu'Il donne la vie à ceux qui croient en son nom. »
Père Emiliano Tardif
Le Père Emmiliano Tardif, atteint de tuberculose pulmonaire, est guéri de façon spectaculaire en 1973 ; il ne cessera ensuite de parcourir le monde (plus de 70 pays) pour annoncer que Jésus est vivant lors de rassemblements au cours desquels il célébrera la messe ainsi qu’une prière pour les malades. Par son intermédiaire, Jésus opérera des centaines de guérisons immédiates dans les corps, les âmes, et les cœurs.
À l’âge de quarante-cinq ans, le père Tardif, missionnaire en République Dominicaine, souffre d’une tuberculose aiguë. Son pronostic vital est en jeu. Des amis lui proposent alors de prier pour lui dans sa chambre d’hôpital… et le voilà miraculeusement guéri ! Totalement renouvelé dans sa foi, il décide de s’investir dans des groupes de prière.
Jésus fait de lui un témoin. À son tour, il devient instrument de Dieu et le témoin privilégié de nombreuses guérisons miraculeuses physiques et intérieures. Invité à faire vivre son charisme de prédication et de guérison, il parcourt alors le monde, là où on l’appelle, afin de partager les merveilles que Jésus veut offrir à tous. À travers deux livres de témoignage, il relate avec simplicité et émotion son parcours et les nombreuses guérisons dont Dieu lui a donné d’être le témoin. Ces récits bouleversants montrent combien le Christ aime les hommes et veut les guérir encore aujourd’hui et demain.
Guérisons d'enfants
« Enfant guéri à Rimini, en 1988, à la Convention du Renouveau Charismatique. Son témoignage à douze ans : « Je m’appelle Luca Pilo. Je suis né avec une lésion du nerf optique et je ne pouvais distinguer les couleurs. J’ai été opéré dans une clinique à Varese en 1984. Comme je ne pouvais marcher seul, je devais toujours être accompagné pour aller à l’école, à l’église, partout. (…) Je suis allé au rassemblement de Rimini(…) Au cours du service de guérison du père Tardif, j’ai senti comme si on me prenait par les mains et je me rendis compte qu’il me tombait des yeux comme des écailles (…) Je me sentais bien (…) justement au micro, on annonçait qu’un enfant était guéri de la vue.(…) Mes lunettes sont depuis hier dans le sac de ma tante (…) merci Jésus. »
« Nous terminions une journée d’évangélisation au Zaïre. Au cours de l’Eucharistie de clôture à laquelle participaient environ 15 000 personnes, une enfant de huit ans, aveugle de naissance, se mit à crier : « Je vois, je vois ! » Tous l’entourèrent. Alors elle demanda : « Qui est ma Maman ? » Deux bras grands ouverts, deux yeux pleins de larmes et un sourire maternel lui donnèrent la réponse. »
L’humour de Dieu
« À Santiago del Estero, en Argentine, en 1984, dans un stade bondé de 30 000 personnes au cours d’une mission d’évangélisation qui dura cinq soirs. Après la prédication, nous avions la célébration de l’Eucharistie. Une mère de famille avait amené avec elle son fils de cinq ans, paralysé depuis deux ans. Pendant la Communion, comme l’enfant ne pouvait pas bouger, sa maman le laissa assis sur son siège et partit communier.
Il y avait tant de monde qu’elle mit un peu de temps à revenir auprès de son fils. Mais à la fin de la messe, elle s’approcha en pleurant du micro, demandant qui lui avait pris son enfant paralysé qui était assis sur son siège. Quelqu’un se rendit compte que le « petit perdu » était à l’arrière et jouait avec d’autres enfants. Le Seigneur l’avait guéri au cours de la prière de guérison : l’enfant était descendu de son siège et était parti jouer avec d’autres petits. »
« Si Dieu existe, alors il est méchant puisqu’il me laisse dans un fauteuil »
« Depuis sa naissance, Giovanna Monzo a une maladie rare et incurable des os. Cette maladie héréditaire affaiblit les os, les pourrissant peu à peu par une décalcification chronique. Elle vit en fauteuil roulant. Elle est pleine d’amertume et ne croit à rien et surtout pas à Dieu car « si Dieu existe, alors il est méchant puisqu’il me laisse dans un fauteuil ». Au moment où elle tente de se suicider, des jeunes filles croyantes lui rendent visite. Peu à peu, la confiance s’établit avec elles et la communauté de croyants qui s’engage auprès d’elle, dans la prière. Peu à peu, Giovanna guérit de ses amertumes, reprend goût à la vie, le plus grand des miracles selon elle, et arrive au point où elle accepte sa situation, ne cherche pas à être guérie, devient croyante, prie et se met au service des autres.
Elle se rend à une prière des malades du père Tardif le 6 juillet 1986 à Laureana Cilento, Italie : « Au cours de la prière des malades, j’entendis le père annoncer que le Seigneur était en train de guérir une personne qui avait des problèmes pour marcher et qu’elle sentait une forte chaleur aux jambes parce que l’Esprit de Dieu la fortifiait.
En effet, je sentis la forte chaleur qui montant petit à petit dans mes jambes et je pensai que c’était dû à l’émotion et à la joie de participer au Rassemblement. Le père ajouta alors :
« Jésus guérit un paralytique ». Alessandra, qui était assiste à côté de moi me cria : « C’est toi Giovanna, c’est toi ! »
Je sentais le regard de tous ceux qui m’aimaient. Alessandra pleurait, mais n’arrivait pas à faire le pas dans la foi. « Tu ressens une profonde chaleur dans ton corps », précisa le père Emiliano. C’est précisément ce que j’étais en train de sentir. Mais n’était-ce pas à cause du climat ou de l’émotion ?
« Au nom de Jésus, lève-toi », ordonna le prêtre. Je ne pensai pas à moi, mais à Jésus, à qui rien n’est impossible. Je me levai toute seule et, pour la première fois de ma vie, j’allai m’approcher de l’autel. Mes amis pleuraient, d’autres riaient, tous s’embrassaient, d’autres me couvraient de baisers. On aurait dit un asile de fous.
Je me sentais très légère, comme si mon corps ne pesait rien. Sans l’aide de personne, je montai les marches où se trouvait l’autel et je glorifiai Jésus pour ce qu’Il avait fait en moi. Alessandra pleurait, d’autres ne pouvaient le croire. Un camarade resta muet cinq heures, bouleversé de m’avoir vu marcher. »
… Le fauteuil roulant est vide. »
« On me fit une trépanation, me vidant l’oreille interne : je perdis ainsi totalement l’audition de ce côté-là. »
« Un an après sa guérison, Celia Covarrubias, rapports médicaux en main, donna le témoignage suivant dans une arène, dans la ville de Mexico, devant 15 000 personnes :
« Il y a vingt ans, j’ai commencé à souffrir d’un cholestéatome à l’oreille gauche. La maladie s’aggrava jusqu’à l’infection. En 1976, on me fit une trépanation, me vidant l’oreille interne : je perdis ainsi totalement l’audition de ce côté-là.
À cause du progrès de l’infection, on me refit une autre trépanation, au cours de laquelle on me racla en plus les os internes. Jusque-là cela ne me souciait pas d’entendre, étant donné que je n’avais pas d’organes auditifs. Le seul intérêt que cela pouvait avoir était d’éliminer l’infection qui gagnait du terrain.
En janvier 1986, je commençais un Séminaire de vie dans l’Esprit du Renouveau charismatique. L’accompagnateur me dit que Dieu avait permis toutes les tristesses de ma vie pour glorifier son nom. Je lui répondis que je préférerais le glorifier avec des louanges. Ma vie avait été très difficile, avec des problèmes de toute sorte.
En février de cette même année, je suis allée au Rassemblement charismatique de Quétaro (Mexique) pour demander la guérison de mon cœur, qui était blessé par les souffrances et les incompréhensions. Quand le père Tardif fit la prière de guérison, j’intercédai pour le salut de mes enfants, de mes frères, de mes amis.
C’est tout juste si je me rappelai que je voulais prier pour ma guérison, car j’étais résignée à ne plus jamais entendre. Je savais que Dieu fait des choses impossibles, mais je ne demandai rien parce que j’étais habituée à entendre d’une seule oreille. Je lui dis simplement : « Seigneur, je suis là. Tu sais ce qui me manque et ce que j’ai en trop. Je me remets entre tes mains », sans rien demander de concret.
Ensuite, le père dit au micro qu’une femme de 38 ans était guérie de l’oreille gauche. À ce moment-là, je ressentis une grande chaleur et entendis un bruit très fort. Je me bouchais l’oreille droite. À ma grande surprise, j’entendais de l’oreille gauche comme si tout près de moi, j’avais un haut-parleur grand comme une armoire. Je demandai à ma voisine si on avait augmenté le volume, mais elle me dit que non. Le Seigneur m’avait-il guérie ?
Je ne pouvais le croire, étant donné qu’à aucun moment je n’avais demandé la guérison. Ce qui est sûr, c’est que contre toute possibilité médicale, j’entendais de l’oreille gauche.
(…)
Toute la nuit, je la passai à pleurer et à rendre grâce à Dieu et à le louer. Je jouissais de tous les bruits. Tout me semblait si pur. Mais le plus important était la joie qui m’inondait (…). À partir de ce moment-là, toute ma vie changea. Le Seigneur me transforma de façon merveilleuse. Avant, je me sentais seule et déprimée. Je savais que Dieu existait mais je considérais qu’Il était loin de mes problèmes. Ma vie était emplie de peines. (…) Celui qui connaît réellement le Seigneur doit le suivre. On ne peut pas résister. Je ne pouvais plus faire marche arrière. Quand une personne a tous ses organes et que Dieu la guérit dans la prière, nous sommes devant un miracle. Mais si la personne n’a aucun organe auditif et qu’elle se remet à entendre, il ne s’agit plus alors seulement d’un miracle, mais d’un appel. Dieu donne une nouvelle direction à sa vie. C’est ainsi que je le compris.
Avant, je vivais très oppressée par des problèmes financiers (…) Maintenant je passe jusqu’à 15 jours sans tisser, parce que beaucoup de gens viennent à la maison pour me demander de prier pour eux, et je n’ai plus jamais eu ce souci financier.
Quand les gens entendent ce que Dieu a fait dans ma vie, il y a des cœurs endurcis qui se convertissent au Seigneur. Certains pleurent et d’autres sont profondément touchés par Lui.
J’ai même eu la visite de prêtres et de religieuses qui souffrent beaucoup de leur manque de foi. Je leur dis que ce n’est pas de leur faute ; que leur problème est qu’ils n’ont pas expérimenté l’amour de Jésus et que c’est pour cela qu’ils ne le connaissent pas.
Auparavant, je me demandais ce qui poussait les évangélisateurs à parler devant les micros, et comment ils osaient prêcher devant tant de monde. Maintenant que j’ai vécu cette expérience de l’amour et de la puissance de Dieu, je le comprends parfaitement : on ne peut taire ce qu’on a vécu.
(…)
Deux ans ont passé depuis ma guérison. Les médecins m’ont refait des tests d’audition et ne s’expliquent pas comment je peux entendre. Maintenant, mon problème n’est pas d’entendre, mais de savoir comment proclamer au monde entier que nous avons un Dieu qui est Père, et que puisqu’Il nous a donné son Fils unique, comment ne nous donnera-t-il pas tout le reste ? »
Je demandai au Seigneur : « Pourquoi y eut-il dix guéris et non pas neuf ou onze ? » Je sentis le Seigneur répondre en mon cœur... » (Père Emiliano Tardif)
« Après que j’ai prêché une retraite pour prêtres à Sagmeline, au Cameroun, on m’invita à prier dans une léproserie du gouvernement où il y avait plus de 300 malades. Nous arrivons devant cette foule souffrante. C’était très impressionnant de se trouver devant ce tableau de douleur : le ver de la lèpre rongeant la chair humaine. Certains les membres amputés pour pouvoir continuer à vivre ; d’autres, aveugles à cause de leur maladie, l’odeur de la chair pourrie… Après leur avoir parlé de la puissance de guérison, nous priâmes, demandant au Seigneur de guérir ces malades.
Peu de temps après être rentré chez moi, je reçus une lettre d’une religieuse infirmière dans la léproserie qui m’annonçait que le Seigneur avait guéri dix lépreux. (…)
Je demandai au Seigneur : « Pourquoi y eut-il dix guéris et non pas neuf ou onze ? » Je sentis le Seigneur répondre en mon cœur : « Pour qu’ils sachent que celui qui guérit aujourd’hui est le même qui a guéri les dix de l’Évangile. »
Hélène Gaspoztumeur : cancer des os
« Je m’appelle Hélène Gaspoz, je suis d’Évolène en Suisse, j’ai 43 ans, mariée depuis 21 ans et j’ai trois enfants. Je souffrais d’un cancer généralisé, qui commença par les os en 1975. On me fit un prélèvement osseux et trois semaines plus tard, le médecin nous annonçait le résultat : tumeur maligne. Cancer des os. (…) La maladie empira. (…) Je passai mon temps par des hauts et des bas. (…) je passai trois mois entiers au lit sans pouvoir même bouger la tête (…) Ma guérison commença le samedi 1er juin, au cours de la réunion avec le père Tardif à Sion. (…) J’étais venue à cette rencontre pour prier et remettre mon mari et mes trois filles au Seigneur, parce que les souffrances insupportables que je ressentais me faisaient penser que ma vie touchait à sa fin.
Je sentis une chaleur intense qui m’envahit le corps ; mes filles me dirent que j’étais toute rouge. Après la réunion, je remarquai que je n’avais pas mal au dos que n’avais pas besoin de chercher mon équilibre pour marcher. Des amis qui étaient venus avec leur fils médecin me dirent : « Mais Hélène, tu es bouillante ». Je leur répondis que c’était sans doute la chaleur du Seigneur…
En arrivant à la maison, je fis remarquer à mon mari que je pouvais tourner la tête, et au cours de la nuit, je pus me retourner dans mon lit sans difficulté, ce que je n’avais pas pu faire depuis des années. C’était comme dans un rêve. Plusieurs fois, j’allumais la lumière pour m’examiner, et je compris que l’Esprit Saint m’avait guérie.
Le matin au réveil, j’étais une femme nouvelle : toutes mes douleurs avaient disparu et contrairement à l’habitude, je n’avais pas la bouche pleine de sang. Je me levai sans aide, me sentant petite et légère comme une plume ; je courus réveiller toute la famille en criant : « Le Seigneur m’a guérie ! », pleurant et chantant tout à la fois. Imaginez ma joie, car j’étais malade depuis 10 ans. »
« On amena pour la prière de guérison un jeune Belge qui souffrait d’un cancer très avancé du pied droit » (Père Emiliano Tardif)
« Le 5 juillet 1981, je prêchais une retraite à l’église des Réformés à Marseille. On amena pour la prière de guérison un jeune Belge de 34 ans, qui souffrait d’un cancer très avancé du pied droit, où il avait deux plaies. Deux médecins de Marseille, après sept mois de traitement, avaient décidé d’amputer sa jambe. Lui ne voulait pas, et résistait de toutes les façons possibles. Quand F. G. sut qu’il y avait une célébration pour les malades, il ne pensa pas à sa vie de péché et décida d’y assister. Au cours de la prière pour les malades, il sentit au pied droit une chaleur très intense, comme si on l’approchait d’un feu.
À la fin de l’Eucharistie, il rentra chez lui, se sentant différent. Quelque chose s’était passé cet après-midi-là, bien que lui-même ne sût expliquer de quoi il s’agissait.
Pour la première fois depuis 7 mois, il se coucha sans prendre de somnifères, et il dormit merveilleusement.
Le lendemain, il était très heureux et étonné. Il dit alors au père jésuiste avec lequel il logeait : « Que c’est étrange, je ne sens plus de douleur au pied ! Voyons voir ce qui se passe ! »
Ensemble, ils ôtèrent la bande qui entourait le pied droit et découvrirent avec admiration qu’il était parfaitement sain et qu’une peau neuve recouvrait les plaies ; la guérison était si parfaite que les tissus étaient renouvelés et on ne voyait même pas la différence entre une peau et une autre. Sautant de joie, le jeune homme partit à la clinique montrer son pied aux médecins qui le soignaient.
Ils lui demandèrent avec curiosité ce qui lui était arrivé, la guérison était si parfaite et si rapide qu’ils ne lui trouvaient aucune explication.
Alors le jeune homme leur dit : « Le Seigneur m’a guéri hier au cours de l’Eucharistie ». Eux, athées, ne savaient pas qui était le Seigneur, et encore moins ce qu’était l’Eucharistie. Ils lui répondirent : « Faut trouver un explication à ça… »
Quand F.G. me téléphona pour me raconter le tout et me répéta que les médecins cherchaient une explication, je lui répondis : « Dis-leur que l’explication, nous l’avons : Jésus est réellement vivant et présent dans l’Eucharistie. Comme Jésus est vivant, Il peut faire cela et beaucoup plus, parce qu’Il est le même qui a ressuscité Lazare et qui a guéri tant de boiteux et de perclus, tant d’aveugles et de sourds. Jésus est la santé des malades ! »
L’homme guéri devint religieux et prêtre.
De la même façon que notre corps est attaqué par différentes maladies, nous pouvons également être atteints intérieurement de traumatismes, complexes, peurs, rancœurs et insécurités de tout genre. (…). Si nous avons été blessés dans nos sentiments, nous pouvons nous en trouver affaiblis. Si nous nous rappelons quelqu’un qui nous a trahis, nous sommes en colère contre tout le monde. (…) Jésus est venu soigner les cœurs brisés et nous offrir un cœur nouveau, dans une guérison intérieure. C’est merveilleux de découvrir comment l’Evangile est plein de ce genre de guérisons : ses disciples, Jésus les a guéris de l’attachement aux richesses et de la convoitise, de l’autoritarisme, de la peur de la mort, du légalisme, de la peur de l’échec, des ressentiments et des rancœurs, de l’orgueil et de l’erreur.
Il a guéri le centurion de son complexe d’infériorité, la samaritaine de sa haine raciale, etc.
Jésus est le soleil de justice et il peut guérir les blessures causées par les injustices de la vie, les blessures émotionnelles de la vie.
Nous nous efforçons de nous libérer de cette rancœur, mais seuls nous ne pouvons y arriver : nous avons besoin d’une puissance supérieure qui nous guérit. Cette puissance, Jésus l’a, lui, le rénovateur des cœurs brisés. (…) La guérison intérieure n’est pas quelque chose de magique, mais elle exige une coopération de la part du patient. Il faut payer le prix de la conversion, que ce soit le pardon ou quelque chose qui empêche la vie de se déployer en plénitude. (…)
Voilà ce que donne Jésus : la vie, la santé, la joie, la paix et le bonheur, parce que pour lui, il n’y a rien d’impossible. Si vous êtes blessé, ne dites pas « je suis un cas désespéré ».Il n’y a pas de cas désespéré : il y a seulement des hommes et des femmes qui désespèrent car ils ne connaissent pas Jésus. Mais à partir du jour où vous vivrez une rencontre personnelle avec lui et que vous découvrirez son amour guérissant, tout va changer. »
« Je ne suis pas chrétien, mais maintenant, je veux le devenir »
Même des non-croyants qui n’ont pas la foi sont guéris. J’en ai vu en Afrique et en Inde. C’était au cours d’une campagne d’évangélisation à Mbandaka au Zaïre. Une après-midi s’étaient réunies environ 20 000 personnes dans le stade sportif pour la messe de guérison. Un enfant païen qui passait par là entra par pure curiosité pour voir ce qui se passait. C’était le moment de la Communion.
Ensuite eut lieu la prière de guérison. Cet enfant de 12 ans souffrait de tachycardie depuis la naissance. Il sentit rapidement qu’une chaleur forte l’envahissait, comme si un courant électrique lui parcourait le corps.(…) Après la messe, l’enfant était totalement guéri de sa tachycardie ; le médecin put vérifier que ce qui s’était passé n’était pas pur fruit de son imagination, mais bien une véritable guérison du cœur.
Au cours de la clôture de la campagne d’évangélisation, cet enfant de 12 ans donna son témoignage avec une audace surprenante et termina en rendant grâce au Seigneur ainsi :
« Je ne suis pas chrétien, mais maintenant, je veux le devenir. »
« Un silence tendu enveloppait l’atmosphère. J’insistai de nouveau, à voix lente mais claire : « Le paralytique que le Seigneur guérit, mets-toi debout ». Personne ne se leva. »
« À Arequipa, au Pérou, en 1985. Au cours de la prière pour les malades, la première parole de connaissance que je reçus et que je donnai était la suivante : « En ce moment, le Seigneur guérit un paralytique ». Puis, d’une voix plus forte, j’ajoutais : « Au nom de Jésus, lève-toi ! » Aucun de ceux qui étaient en siège roulant n’eut l’audace de faire le pas dans la foi…. Ensuite, je précisai : « Le Seigneur guérit en ce moment un paralytique. Le signe qui t’identifie, et pour que tu saches que c’est toi que le Seigneur guérit, tu sens une légère chaleur, mets-toi debout au nom du Seigneur »… Personne ne bougea.
Un silence tendu enveloppait l’atmosphère. J’insistai de nouveau, à voix lente mais claire :
« Le paralytique que le Seigneur guérit, mets-toi debout ». Personne ne se leva. Devant le regard dubitatif des sceptiques, il semblait que cette fois, rien ne se passerait.
Alors je dis – et cela parut une bonne excuse à certains – : « Bien, dans quelque temps, tu pourras donner ton témoignage », et je continuai à donner d’autres paroles de connaissance.
Bien qu’elles fussent toutes confirmées, cette première me restait en travers de la gorge. Pour terminer, j’annonçai : « Le Seigneur est en train d’ouvrir les oreilles d’un sourd. » À ce moment-là, un sourd assis dans un fauteuil roulant se mit debout et commença à crier :
« Père, j’entends, j’entends ! Avant, je n’entendais rien ! »
Alors je déclarai : « Comme de raison : tu es le paralytique que le Seigneur a guéri, mais comme ut étais également sourd, tu ne t’es pas rendu compte que le Seigneur t’avait guéri de ta paralysie. Au nom de Jésus, marche… » Et cet homme se mit à marcher au milieu des applaudissements, des rires et de la joie de la foule. À la fin, je leur dis : « Tous les jours, on apprend quelque chose. À partir d’aujourd’hui, je vais demander au Seigneur de commencer par guérir les sourds pour nous éviter ces situations embarrassantes dans lesquelles il nous met. »
« Je suis musulmane, mais je suis venue et Jésus m’a sauvée. Je m’appelle Zenabo, mais à partir d’aujourd’hui, je veux être chrétienne et je m’appellerai Catherine. »
« Au mois d’octobre 1988, j’ai pu prêcher dans cinq pays d’Afrique avec le père Jo Heglin m.s.c. L’un de ces pays était le Burkina Faso. Il y avait plus de quatre cents leaders du Renouveau réunis pendant une semaine entière. Mais chaque soir de la retraite, nous allions tous devant la Cathédrale pour une messe à 18 h, à laquelle assistaient de nombreux musulmans. Ceux-ci croient en Dieu (Allah) mais considèrent Jésus-Christ comme un prophète de plus. Une guérison qui me toucha beaucoup fut celle d’une femme musulmane de 45 ans qui souffrait de paralysie du côté droit. Une amie l’avait invitée à la messe du guérison, lui disant : « Ce soir, beaucoup de malades seront guéris, viens avec nous. » Cette femme vint à la messe de guérison et durant la prière, le Seigneur la guérit.
Au cours de la messe de clôture, elle donna son témoignage devant des milliers de personnes : « Ouvrez vos cœurs à Jésus, Jésus est vivant. J’en suis témoin. Je souffrais de paralysie du côté droit. Je suis allée dans de nombreux hôpitaux et on ne me guérissait pas, mais une amie m’a amenée à la messe de guérison mardi soir. Je suis musulmane, mais je suis venue et Jésus m’a sauvée. Je m’appelle Zenabo, mais à partir d’aujourd’hui, je veux être chrétienne et je m’appellerai Catherine. »
« Je me repens de n’y avoir pas invité plus de païens (…) »
« Le 23 décembre 1987, le père Paul Pegeaud d'Issia, en Côte-d’Ivoire, m’écrit et me dit : « La tournée d’évangélisation a laissé une profonde trace dans la paroisse. Je me repens de n’y avoir pas invité plus de païens (…). Il y a eu des guérisons spectaculaires comme celle d’un enfant bossu de 4 ans. Quand a commencé la prière pour les malades, il s’est mis à transpirer abondamment. Il est tombé par terre et s’agitait comme s’il s’était trouvé dans une marmite d’eau bouillante. Puis il sentit que quelque chose le tirait de la tête et par les mains et il se leva tout seul.
Alors il dit à son papa : « Papa, on peut dire que tu es un bon médecin. » Son père lui répondit, tout ému : « Mais ce n’est pas moi qui t’ai guéri. C’est Jésus de Nazareth... » Quand il rentra chez lui, le papa essaya de prendre un peu de liqueur car il aimait beaucoup cela, mais sa bouche la rejeta et il fut ainsi libéré de l’alcoolisme. »
On lui avait ôté une partie de l’encéphale
« À Santiago de los Caballeros, en République Dominicaine, à l’automne 1987, est intervenue une guérison très grande. Oscar Lama avait eu un accident de voiture, suite auquel il était resté dans le coma pendant deux mois. On le transféra dans un hôpital connu à Pittsburg, aux États-Unis, où il passa plusieurs semaines.
Là, quand on constata qu’il n’y avait plus rien à faire – on lui avait ôté une partie de l’encéphale – on le renvoya chez lui. S’il arrivait à sortir de son coma, il mènerait une vie végétative, sans aucune caractéristique humaine.
Au cours d’une messe de guérison à la cathédrale de Valverde, son papa nous demanda de venir chez lui prier pour son fils. Nous y sommes allés, le curé de la cathédrale et moi. Nous avons prié le Seigneur de le guérir, et cela pendant environ cinq à huit minutes. C’était impressionnant de voir cet être humain totalement immobile, qui ne réagissait à aucun stimulant ni n’avait le moindre mouvement propre.
Le Lendemain, dans la matinée, Oscar appela ses parents. Ce fut pour eux une grande émotion de l’entendre parler. Dans la semaine, il regardait les programmes sportifs à la télévision et se rappelait le nom de tous les joueurs réputés qu’il connaissait. La mémoire lui revint ainsi que les autres facultés mentales. Plus tard, il se leva et grâce à une intense thérapie et de l’exercice, il se remit à marcher. Aujourd’hui, Oscar Lama a un travail professionnel tout à fait normal.
Cette guérison a été pour la famille entière un appel à la foi ; y compris un de ses meilleurs amis qui le visitait régulièrement, vint se confesser auprès de moi. Quand Oscar revint à l’église, son ami fit sa première communion à côté de lui. Toute la famille fut touchée spirituellement à travers cette guérison.

« Je ne croyais pas aux miracles ! »
Maureen Digan
Frappée d'une maladie grave et après avoir subi 50 interventions chirurgicales, elle est amputée de la jambe, la maladie continuant à évoluer et restant incurable. Sur l'inspiration de son mari, ils se rendent à Cracovie, où Jésus apparitions à Sainte Faustine, lui délivrant au cours de nombreuses révélations l'un de ses plus importants messages du XXe siècle : l'importance et la primauté de la Miséricorde Divine, infinie, inépuisable, sur la Justice de Dieu. Lire sur ce site plus d'informations sur le message de la Divine Miséricorde à Sainte Faustine.
« Je suis convaincue qu’après avoir entendu mon témoignage, certains d’entre vous ou peut-être vous tous, vous allez vous poser cette question : pourquoi c’est elle et pas moi ou l’un de mes proches ? Que faire, je me pose moi-même cette question : pourquoi est-ce moi et non pas mon fils, qui est malade depuis des années ?
À 15 ans, j’ai été frappée d’une pathologie qui s’appelle lymphoedème. Entre mes 15 et 20 ans, j’ai subi 50 opérations et interventions chirurgicales. Pendant 10 ans, j’ai sans cesse séjourné à l’hôpital. Les hospitalisations duraient de huit jours à douze mois. À 19 ans, j’ai eu une opération de la colonne vertébrale et, pendant deux ans, je suis restée paralysée des hanches aux pieds. À 20 ans, j’ai subi une première amputation. Mais la maladie s’était aggravée au point qu’il a fallu amputer ma jambe jusqu’à la hanche.
Bob, mon mari, homme de grande foi et de prière, sentait qu’il devait emmener sa famille, notre fils malade et moi-même, en Pologne. Il est parti pour Eden Hill à Stockbridge [actuellement, le Sanctuaire National de la Miséricorde Divine aux États-Unis], où il a eu une conversation avec le Père Serafim Michalenko, à qui il a demandé s’il pouvait nous accompagner dans ce voyage en Pologne. L’abbé Serafim, qui s’occupait du culte de Sœur Faustine aux États-Unis, a obtenu l’autorisation de ses supérieurs et c’est ainsi que nous avons pu entreprendre ce voyage difficile vers Cracovie.

Le 28 mars 1981, je me suis confessée à Cracovie. C’était ma première bonne confession depuis des années et des années… Je me suis sentie plus proche du Seigneur Jésus et de Sœur Faustine, mais pas tout-à-fait. Ce soir-là, le 28 mars, nous avons prié sur la tombe de Sœur Faustine à la Chapelle des Sœurs, implorant particulièrement pour ma guérison. Toujours un peu incrédule j’ai dit à Sœur Faustine : « Eh bien, Sœur Faustine, fais quelque chose de tout cela ! » Soudain la douleur a cessé et l’œdème a disparu. J’ai pensé que c’étaient des symptômes nerveux, car je ne croyais pas aux miracles. J’ai mis une serviette dans mon soulier pour que personne ne remarque que l’enflure avait disparu. J’ai arrêté également de prendre les médicaments. Mais ma maladie avait complètement cessé. J’ai consulté dans la suite quatre médecins différents qui, toujours, m'avaient affirmé que ma maladie était incurable, qu’il n’y aurait jamais de rémission durable et qu’aucune thérapie médicamenteuse ne serait efficace…
Et pourtant Dieu choisit qui Il veut. Il m’a choisie et m’a guérie ! De tout cœur je lui rends grâce pour ma guérison qui servira de preuve pour la béatification de Sœur Faustine. Toute ma famille loue le Seigneur. Combien sont vraies les paroles de Jésus tirées du Petit Journal de Sœur Faustine : « Plus grande est la misère, plus elle a droit à ma miséricorde ! »
Sœur Elżbieta Siepak ZMBM, Don de Dieu pour notre temps », Éd. Misericordia, Cracovie 2007, pp. 128-130. Traduction – Beata Hrehorowicz
Dieu a rendu la santé à Maureen mais ne lui pas a recréé de nouvelle jambe. Il aurait pu le faire, bien sûr car rien ne lui est impossible. S'il ne l'a pas fait, il doit avec ses raisons. Peut-être se réserve-t-il ce type de miracle pour la période de la fin des temps de l'Apocalypse qui précédera le retour de Jésus , annoncé dans les Évangiles.
Pourquoi Dieu ne guérit-il pas tout le monde s'il est si bon ?
L'avis du Père Emiliano Tardif
« Jésus n’a jamais dit que tous les malades seraient guéris, mais qu’Il nous donnerait des signes pour l’évangélisation. Les guérisons sont les signes qui accompagnent l’annonce de l’Évangile, mais il n’est pas nécessaire que tous soient guéris pour qu’on croie à la Parole de Dieu.
Un journaliste me dit un jour : « Je crois qu’il faudrait suspendre toutes ces réunions, car beaucoup de gens viennent espérant être guéris et retournent chez eux malades. C’est encore pire d’être déçu que de n’avoir pas espéré. » Je lui répondis alors : « Il faudrait également fermer les hôpitaux, parce que beaucoup de ceux qui y entrent en sortent entre quatre planches pour le cimetière. » (…) Toutes les personnes qui viennent peuvent recevoir des grâces. Notamment le réveil de la foi. Même si le malade n’est pas guéri, il reçoit une bénédiction du Seigneur. »
Semer des indices de Sa Présence
Dieu n'a pas changé. Avant de guérir physiquement, Jésus guérissait les âmes. La préoccupation principale de Dieu est d'abord de sauver les âmes des griffes de l'ennemi sans se montrer trop voyant non plus, ce qui obligerait tout le monde à croire. Aussi Dieu sème des indices de sa présence et montre son amour en guérissant certaines personnes. Afin de faire réfléchir et d'orienter vers lui et vers l'alliance d'amour, le salut qu'il propose.
La maladie, la mort, sont bien peu de choses par rapport à l'éternité de Paix, de Joie dans sa Densité d'Amour que propose Dieu à chacun. Et puis aussi, si tout le monde était guéri, qui remarquerait Dieu ?
« Si Dieu existait, ma mère ne serait pas morte d’un cancer »
Cette remarque d'une collègue d'un pasteur protestant l’a fait réfléchir. Il imaginait sa douleur face à sa mère malade, son espoir dans un Dieu puissant qui pouvait guérir, puis son deuil, son désappointement, ses doutes même sur l’existence de Dieu.
Un Dieu qui sert nos projets, qui se plie à notre volonté et à nos désirs ; en un mot : un Dieu à notre service… Oui, ce Dieu-là n’existe pas.
En revanche un Dieu qui accomplit, non pas notre volonté mais la sienne, dans le seul but de donner à chacun l’accès à la vie éternelle (une éternité de bonheur), ce Dieu-là est bien celui que la Bible présente.
Toutes les circonstances de nos vies, agréables ou douloureuses, sont au service du projet qu’il a pour chacun de nous. Elles ne sont jamais le fruit du hasard, mais elles sont soumises à la volonté de Dieu qui aime ses créatures et désire les conduire à se tourner vers lui.
Plutôt que d’évacuer Dieu de notre vie avec amertume, apprenons à voir, dans tout ce qui nous arrive, sa main qui voudrait nous attirer à lui.
Mais l’argument majeur qui nous oblige à une confiance sans limite en Dieu, c’est son amour inimaginable. « Il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse pas, mais qu’il ait la vie éternelle. » (Jean 3, 16).
Guérisons en direct et à distance,
paroles de connaissance
Lors d'assemblées de prières, adorations eucharistiques, rassemblements œcuméniques de chrétiens (souvent charismatiques)...
Pour guérir, conseiller ou faire ressentir sa Présence à une personne non croyante ou qui doute... Jésus passe par l'intermédiaire de personnes chrétiennes, très priantes, à qui il confère le don de recevoir, puis communiquer un message de Dieu à une personne précise dans l'assemblée.
Comment cela se passe-t-il ? Celui qui possède ce don reçoit intérieurement une communication spirituelle qui lui dévoile de façon imprévisible ce que l’Esprit Saint de Jésus souhaite opérer ou est en train d’accomplir en une personne précise de l’assemblée en prière. Il annonce donc publiquement ce qu’il vient de recevoir.
La personne se reconnaît alors dans la description très précise (et souvent connue d'elle seule) qui est faite dans la parole de connaissance. Elle peut même recevoir une motion intérieure lui confirmant que c’est bien d’elle qu’il s’agit. Alors qu’elle entendait cette parole, le Seigneur en effet la visitait en lui apportant ce dont elle avait besoin : une guérison, une consolation, une paix...
Soirée live en mars 2022 avec le diacre catholique Bernard Dihl sur sa chaîne Youtube Vivre de ta parole : paroles de connaissance de guérison : femme ayant été violentée et addict au tabac ; personne dans le coma ; gastralgie, boulimie, myocardite...
Soirée live guérison en mai 2021 avec le prêtre catholique Baudoin Ardillier sur la chaîne Youtube Unis en Christ : refus de pardon, personne voulant couper sa main, maîtresse et femme, adoration du soleil...
Dieu étant maître du temps et de l'espace, il ne s'embarrasse pas avec la distance physique ou temporelle et peut aussi s'adresser à vous plus tard via un replay.
Pour assister à des directs ou voir des différés, cliquez ici
Le témoignage exceptionnel de Bernard Dihl :
athée, guéri miraculeusement, converti...
Dieu lui a parlé pendant 5 heures...
...puis devenu apôtre du Christ au XXIe siècle
Alors qu’il n’avait pas la foi, Bernard Dihl est condamné par la médecine, atteint d’une Sclérose en Plaques. Il sera guéri miraculeusement dans un groupe de prières catholique. Guérison qui aura été annoncée par une parole de connaissance du Père Emiliano Tardif, il fera ensuite l’expérience d’une rencontre mystique avec le Christ. Ce livre raconte, tel l’apôtre Paul, cette rencontre qui fera de lui un serviteur du Christ comme Diacre.
Aujourd’hui, il parcourt le monde pour témoigner de son amour pour Jésus, annonçant la Parole de Dieu, le Saint Esprit confirmant la Parole annoncée par des signes et des prodiges qui l’accompagnent. Lors de rassemblements avec d’autres dénominations chrétiennes, celles-ci ont reconnu en Bernard un ministère prophétique avec une forte onction de guérison et de libération, qui font de lui un ardent défenseur de l’amour de Dieu pour chacune de ces dénominations. Convaincu et plaidant pour l’unité dans le Christ qui nous commande de nous aimer les uns les autres selon l’Évangile de Jean 17, 20-26. Bernard invite les chrétiens à ne plus se tolérer mais à s’aimer dans le respect de la foi de l’autre, de son identité, de son église, de ses ministères.
Pour en savoir plus sur Bernard Dihl, son site.
Suivez les directs de Bernard Dihl, demandez votre guérison à Jésus et rencontrez le Roi des Rois !
Tous les mardis et vendredis soir à 20 h et tous les samedis à 15 h, entrez dans la Parole de Dieu, sa louange, découvrez Jésus et rencontrez-LE en direct au cours des lives de Bernard Dihl accessibles sur Youtube, Facebook, etc. Un exemple de direct :
Assistez aux soirées de prière, de louange et de guérison de Bernard Dihl près de chez vous
Consultez l'Agenda pour connaître les lieux et dates des journées/après-midi/veillées de prière itinérantes de Bernard Dilhl, avec témoignage, louange, proclamation de la Parole de Dieu, prédication et prière pour les malades.
Prières de guérison miraculeuse
Prière de guérison miraculeuse de Padre Pio
Saint Padre Pio était un humble prêtre italien doté d'une immense foi qui a inspiré de nombreux chrétiens et a amené à la foi beaucoup d'incroyants. Il est connu dans le monde entier pour sa puissante intercession et son pouvoir de guérison. Des miracles en grand nombre lui ont été attribués de son vivant mais aussi depuis son décés.
La prière ci-après prend ses racines dans la Passion de Jésus-Christ, pour demander de l'aide à Dieu.
Prière de guérison miraculeuse du cancer de Padre Pio pour lui confier une personne qui vous est chère : malade du cancer, tumeur et toute autre pathologie oncologique
Ô Padre Pio, témoin aimé de Jésus Christ sur terre, dévoué fils de la Béate Vierge Marie, je viens par cette prière vous demander d’intercéder auprès du Dieu Omnipotent pour (nom). Faites qu’il/elle puisse être libéré/ée du cancer qui l’afflige et tourmente sa vie. Ô Padre Pio, depuis qu’on lui a diagnostiqué une tumeur, il semble que tout autour de moi s’écroule. Je n’aurais jamais imaginé que cela puisse lui arriver. Padre Pio, en ces heures sombres, je vous cherche dans mon cœur. Soutenez-moi, j’ai besoin de votre aide.
Mon/ma cher/chère (nom) est gravement malade, moi je le/la soutiens en faisant tout ce qui est humainement possible, mais Padre Pio, je me sens impuissant et plein d’angoisse parce que sa vie ne repose pas entre mes mains. Mon Bienveillant Padre Pio, je confie (nom) entre vos mains, je ne sais pas ce qui adviendra dans le futur mais j’ai la certitude que vous serez à ses côtés pour l’aider.
Padre Pio, en vous je place mon espoir, ne laissez pas le cancer continuer à se propager dans son corps. Soulagez ses douleurs, les effets collatéraux des soins et apaisez ses souffrances. Soutenez-le/la pendant qu’il/elle fait face à cette lutte contre la tumeur avec le courage et la paix intérieur. Vous qui avez accompli des miracles et des guérisons par l’intercession du Dieu Omnipotent, écoutez mes supplices : je vous demande, Ô Padre Pio, le don de la guérison du cancer de (nom).
Donnez-lui la joie de vivre encore longtemps, guéri/e du mal, auprès de moi, de ses proches et de sa famille. Faites qu’il/elle puisse reprendre le cours de sa vie quotidienne. Ô Padre Pio, prenez sa main dans la vôtre et marchez avec il/elle vers la guérison de cette terrible tumeur. Padre Pio, renforcez-le/la dans la foi pendant cette bataille contre le cancer.
Padre Pio, je recherche votre secours, effacez de mon cœur tous les angoisses et purifiez-moi du péché. Rendez ma prière de guérison du cancer de (nom) digne d’être écoutée jusque dans les cieux. Je promets de vous suivre dans l’amour, d’être plus généreux et de faire le bien. À Dieu le Père, au Fils, au Saint Esprit, dont la magnificence rayonne sur vous Padre Pio, tout honneur et toute gloire, pour les siècles des siècles. Amen.
Prière de guérison miraculeuse Padre Pio pour lui confier les malades
O mon Jésus, donne-moi ta force lorsque ma pauvre nature se révolte devant les maux qui la menacent, afin que je puisse accepter avec amour les peines et les détresses de cette vie d’exil.
J’adhère de toutes mes forces à tes mérites, à tes peines, à ton expiation, à tes larmes, afin que je puisse travailler avec toi à l’œuvre du salut et que j’aie la force de fuir le péché, cause unique de ton agonie, de ta sueur sanglante et de ta mort.
Détruis en moi tout ce qui te déplaît et imprime dans mon cœur, avec le feu de ton saint amour, toutes tes souffrances. Embrasse-moi si intimement, d’une étreinte si forte et si douce, que jamais je ne te laisse dans tes cruels tourments.
Je ne demande qu’un seul repos : sur ton Cœur. Je ne désire qu’une seule chose : de participer à ta sainte Agonie. Puisse mon âme s’enivrer de ton sang et se nourrir du pain de ta douleur.
Prière de guérison miraculeuse du cancer de Saint Pérégrin
Saint Pérégrin est miraculeusement guéri de la gangrène à 60 ans, la veille du jour où les médecins ont prévu son amputation. Alors qu'il s'est endormi devant le crucifix de son monastère, abruti de fatigue et de souffrances, il voit Jésus descendre de sa croix et le guérir. Le lendemain, les médecins ne peuvent que constater l'impossible. La nouvelle de sa guérison se répand comme une traînée de poudre dans sa ville, l'Italie et le monde entier où il est connu comme le protecteurs des malades du cancer.
Ô grand Saint Pérégrin, toi qu’on a appelé « Le Merveilleux », « le Pourvoyeur de miracles » pour les nombreux miracles que tu as obtenus pour tous ceux qui ont recours à toiToi qui fus atteint durant de nombreuses années de ce mal qui détruit l’être, et qui eu recours à la source de toutes grâces lorsque l’Homme ne pouvait plus rienToi qui eus la grâce de voir Jésus descendre de sa croix pour te guérir, intercède pour nous auprès de Dieu et de Notre-Dame en faveur des malades que nous te recommandons (Nommer ici les personnes)Qu’ainsi soutenus par ta puissante intercession, nous chantions à Dieu notre gratitude, maintenant et toujours, pour sa grande bonté et sa miséricorde.Amen.
Suivez sur YouTube la prière des malades à l'église Saint Nicolas-des-Champs à Paris où se produisent, sur place, à distance et même en différé, de nombreuses guérisons
Le site internet de la paroisse, page "participer à la prière des malades"
La chaîne You Tube de la prière des malades de Saint-Nicolas-des-Champs