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La Résurrection du Christ par Greg et Tim Hildebrandt

La Résurrection du Christ, par les frères Hildebrandt

LE CHRISTIANISME EST
L'UNIQUE VÉRITÉ
PAS L'ISLAM NI LE BOUDDHISME...

Jésus mort sur la croix est ressuscité, le christianisme est l'unique et vraie religion

Jésus offre au monde ce qu'il y a de meilleur !

Le christianisme est la seule clé de lecture répondant au mystère de l'existence de l'Homme.

Jésus, seul, est vivant, il authentifie sa Présence et ses Évangiles par ses miracles d'aujourd'hui. Mahomet et Bouddha, eux, sont dans leur tombe.

Le christianisme bien compris est une révolution de l'amour.

Ils étaient douze apôtres seulement et ils ont mis le feu au monde !

 Dans toutes les religions ou croyances autres que le christianisme, la divinité n’est pas aimée, mais crainte. C'est particulièrement le cas chez les musulmans qui voient en Dieu un être suprême devant lequel il faut faire preuve de crainte et d'une totale soumission.

Et pour apaiser ou s’attirer les faveurs de la divinité, on lui offre des sacrifices, même humains, voire des êtres que l’on aime.

Jésus, lui, révèle que dans l’Eglise qu’il fonde sur la pierre et que même la mort ne pourra ébranler, la divinité ne cherche et ne demande qu’une chose : être aimée comme un bon parent. C’est une première ! Pour se réconcilier avec la divinité, dans l’enseignement et la vie de Jésus, c’est la divinité elle-même qui s’offre en sacrifice ! Unique !
Voilà pourquoi les chrétiens lui rendent un amour de tout leur cœur. Ils n'ont pas la "crainte" de Dieu mais une vénération respectueuse envers Lui.

Jésus est VRAIMENT ressuscité !

Peut-on le prouver ?

Oui, les preuves de la Résurrection sont multiples et nombreux sont ceux qui ont risqué leur vie pour que ce message vous parvienne aujourd'hui.

Découvrez-les sur cette page

Sommaire de la page

 

  • Les hommes et les religions

  • La boussole affolée des Occidentaux au XXIe siècle

  • Ce que pensent les athées et relativistes

  • Ce que les chrétiens proclament

  • Que s'est-il passé pour que nous ayons besoin de Jésus ? (ou le plan de Dieu pour sauver les hommes de leur mauvais usage de la Liberté (et de leur propre stupidité))

  • Sur quelles fondations le christianisme se base-t-il ?

  • Quels sont les arguments permettant d'affirmer que le Dieu des chrétiens est l'Unique, qu'il parle, aime et sauve par Jésus Christ ?​

1. Miracles inexpliqués par la science et conversions opérés sous le seul nom de Jésus

2. Jésus, l'Unique, l'Exception

  • "Jamais homme n'a parlé comme cet homme"

  • La Résurrection de Jésus, base de la foi chrétienne : une proclamation provocante

  • Quelles sont les preuves de la Résurrection de Jésus

    • Miracles d'hier, d'aujourd'hui... et de demain

    • Les Écritures relatant la Résurrection sont dignes de foi : démonstration

    • La foi en la Résurrection diffusée en un temps record et anormalement court

    • Si le grain ne meurt pas : pour les rétifs à l'idée d'une Résurrection

3. Le caractère unique et universel du christianisme, éblouissant message d'amour éternel de Dieu pour tout homme, de tout temps et en tout lieu :

  • "Toi" ou l'amour singulier de Dieu pour l'Homme, unique dans toutes les religions 

  • Un Dieu fou (d'amour) 

  • Dieu vrai Père, Jésus l'ami ; l'amour inconditionnel d'un Dieu d'une fidélité à toute épreuve

  • Dieu, infiniment puissant mais infiniment humble

  • Dieu est discret, il ne s'impose pas

  • Dieu est Amour mais aussi Justice

4. Les Saintes Écritures :

  • La Bible, histoire de l'Humanité et de l'Alliance que Dieu offre à chacun

  • Recherche exigeante de la vérité historique

  • Ils étaient douze et ils ont mis le feu au monde

5. L'Église de Jésus Christ

  • Une Église d'abord dans le cœur de chaque chrétien

  • Une Église pleine de contrastes

  • Une Église ouverte comparée à la fermeture d'autres croyances

  • Humilité du chrétien qui ne dénigre pas les autres expériences spirituelles authentiques

  • L'Église catholique, un moteur de rassemblement universel

  • Le christianisme tient ferme sa position face aux autres religions et croyances

    • Christianisme et religions orientales (pas de réincarnation possible)

    • Christianisme et islam (le Dieu d'Amour des chrétiens n'est pas celui de la soumission craintive des musulmans à un Allah lointain, inaccessible et créateur dans le but unique d'être adoré)

    • Christianisme et juifs

    • Croyances déviantes basées sur le Christ

    • Le cœur de tout homme est travaillé par Dieu, même celui de ceux qui ne croient pas en Lui

  • Les différentes sensibilités chrétiennes en voie d'union

  • Malgré son indignité, notamment celle de ses pasteurs, l'Église catholique reflète le visage du Christ

  • L'Église du Christ, qui aurait dû mourir 1 000 fois, s'est étendue au monde entier et renaît toujours : à l'aube d'une puissante renaissance de la foi chrétienne en Occident par le biais de jeunes ayant reçu une mission particulière du Christ et certains pouvoirs et charisme de Lui

  • Une expérience personnelle du Christ Vivant

  • Pourquoi les convertis sont-ils pénibles avec leur prosélytisme ? Témoignage de la créatrice de ce site Jésus Sauve

  • Pour aller encore plus loin

LES HOMMES ET LES RELIGIONS

De tout temps, les hommes ont attendu des diverses religions la réponse aux énigmes cachées de la condition humaine, qui, hier comme aujourd’hui, troublent profondément le cœur humain : qu’est-ce que l’homme ? Quel est le sens et le but de la vie ? Qu’est-ce que le bien et qu’est-ce que le péché ? Quels sont l’origine et le but de la souffrance ? Quelle est la voie pour parvenir au vrai bonheur ? Qu’est-ce que la mort, le jugement et la rétribution après la mort ?

C’est en face de la mort que l’énigme de la condition humaine atteint son sommet. L’homme n’est pas seulement tourmenté par la souffrance et la déchéance progressive de son corps mais, plus encore, par la peur d’une destruction définitive.

Les sciences et les techniques nous ont longtemps donné l’illusion d’arriver à bout des maladies, de la vieillesse et de la mort. Et toutes les tentatives de la technique, si utiles soient-elles, sont impuissantes à calmer son anxiété. Le prolongement de la vie que la biologie procure ne peut satisfaire ce désir d’une vie ultérieure, invinciblement ancré dans son cœur.

LA BOUSSOLE
AFFOLÉE DES OCCIDENTAUX AU XXIe SIÈCLE

Au XXIe siècle, la boussole spirituelle des hommes occidentaux est particulièrement affolée depuis qu'ils ont, pour la plupart, rejeté Dieu. Ils cherchent frénétiquement ailleurs qu'en lui, qui est pourtant le seul à même de les combler, une réponse au sens de la vie, et leur corps a soif de bien-être.

 

Beaucoup écartent toute religion comme étant, premièrement, un carcan d'interdits, deuxièmement, le motif d'atrocités (fanatisme menant à des absurdités comme la guerre au nom de Dieu, etc.). 

Certains rejettent le christianisme en particulier, dont ils ont une idée fausse en raison des travers dont les chrétiens et représentants ecclésiaux eux-mêmes,  se sont hélas rendus responsables au fil des siècles. Pourtant, bien que décrédibilisée en tant qu'institution ecclésiale vu les scandales récents, entre autres de pédophilie, l'Église du Christ n'en reste pas moins infiniment sainte dans son ensemble.

Lesdits scandales sont particulièrement mis en valeur par la presse dans un procès uniquement à charge, sans jamais œuvrer à décharge, crédibilisant une sorte de "pensée unique" où tout ce qui est religieux, et surtout chrétien, doit être éradiqué de la sphère publique... Le politiquement correct devient un laïcisme lui-même fanatique car il veut expurger, non seulement le spirituel, mais toute son existence dans l'Histoire : par exemple, une députée européenne a récemment proposé de rayer le mot "Noël" du vocabulaire festif de fin d'année…

 

Mais… on ne fait pas taire le besoin d'absolu de l'Homme ! Alors pullulent les sectes, les croyances en d'autres religions, en le pouvoir des pierres, des "énergies", chakras et autres reiki, etc., puissants canaux des forces du mal, longuement détaillés dans la page Le diable existe-t-il ?

CE QUE PENSENT LES ATHÉES ET RELATIVISTES

Deux attitudes réductrices coexistent :
L'athéisme : selon lui, toutes les religions sont des illusions inventées par les hommes pour se consoler de leurs malheurs.  « Avec les progrès de la science et de l’économie, les hommes pourront enfin se débarrasser de cette illusion mensongère », pensent les athées.

Le relativisme : « Toutes les religions se valent. Toutes les religions sont des expressions différentes d’un même besoin religieux profondément incrusté dans la psychologie humaine – besoin qui correspond à une réalité : il existe bel et bien un Être divin dont on ne peut pas dire grand-chose. Les hommes ne se sont pas résignés à ce silence, ils ont inventé divers discours sur Dieu, aussi faux les uns que les autres : ce sont les théologies des différentes religions, qui dégénèrent parfois en fanatisme ou en intolérance. C’est la position qui vient à l’esprit en étudiant l’histoire des religions ! Chacun devrait avoir le bon sens d’admettre que les croyances et rites des autres religions sont tout aussi valables. » Ainsi pensent les relativistes.
Cette conception se retrouve chez de nombreux penseurs hindous : « Nous voyons que toutes les religions ont produit des hommes et des femmes de la plus grande sainteté… » Ghandi changeait chaque soir de livre sacré pour animer la prière de ses disciples : tantôt la Bible, tantôt le Coran, etc., persuadé qu’on y retrouvait toujours le même idéal fondamental de fraternité universelle.

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CE QUE LES CHRÉTIENS PROCLAMENT

« Sache donc aujourd’hui, et médite cela en ton cœur : c’est le Seigneur qui est Dieu, là-haut dans le ciel comme ici-bas sur la terre ; il n’y en a pas d’autre. » (Deutéronome 4, 39)

 

« Jésus-Christ est le Messie, le Fils de Dieu. Il est mort et ressuscité pour nous sauver de la mort et du péché. Nous en sommes témoins. À votre tour, tournez-vous vers Lui et offrez-lui votre vie, vous ne le regretterez pas. Il n'y a qu'un seul et unique Dieu. »

 

Nous proclamons ceci sur ce site Jésus Sauve avec force et conviction, car nous avons personnellement rencontré le Rédempteur. Expérience bouleversante, après 45 ans d'athéisme pur et dur.

 

Pourquoi Jésus et pas Bouddha, Confucius ou Mahomet ?

Beaucoup de gens sont en recherche spirituelle et ne savent pas de quel côté s'orienter. On leur propose tellement de religions ou de philosophies différentes ! Tous les chemins ne mènent-ils pas au ciel ? La réponse tient en quatre mots : Jésus seul est vivant, le seul à parler avec l'autorité de Dieu parce qu'il est le seul à avoir vaincu la mort. Bouddha et les autres sont encore dans leurs tombes aujourd'hui, mais Jésus, par sa puissance, est sorti de la sienne le troisième jour après avoir été crucifié et il accomplit aujourd'hui des miracles qui attestent de sa Présence.

 

Dieu est et veut être Notre Père, un Dieu d'Amour, de Joie, de Justice qui nous a créés pour nouer une relation personnelle avec chacun d'entre nous et nous a offert une planète de toute beauté.

En s'incarnant en homme, devenant Jésus et notre frère pour toujours, Son Fils s’est abaissé jusqu’à la mort de la croix, mais Dieu l’a ressuscité et élevé au ciel. Bien au-delà des étoiles, telle est l’immense perspective qui se présente à celui qui croit en Jésus.

Et rencontrer Jésus personnellement, décider de le suivre, ce n'est pas embrasser une religion-carcan ni signer en bas d'une feuille remplie d'interdits comme beaucoup l'imaginent, mais ouvrir la porte de la vraie liberté et booster sa vie : tous ceux qui refusent le Christ sont privés de tant de grâces, et de si grands secours et faveurs célestes !

QUE S'EST-IL PASSÉ
POUR QUE NOUS AYONS BESOIN DE JÉSUS ?

ou le plan de Dieu pour sauver les hommes de leur mauvais usage de la Liberté (et de leur propre stupidité)

« Dieu a fait la Grande Ourse, Orion, et les Pléiades, ainsi que les constellations du sud. C’est lui l’auteur… de merveilles si nombreuses qu’il est impossible de les compter. » (Job 9, 9-10)

« Dieu créa l’homme à son image ; il le créa à l’image de Dieu. » (Genèse 1, 27)

Avez-vous vu des photos de la Terre prises à l’aide du télescope Hubble qui tourne autour d’elle ? Elles sont saisissantes, d’une beauté paisible. La couleur qui domine est le bleu, essentiellement à cause de l’étendue de ses océans. C’est pour cette raison que la Terre a été surnommée poétiquement la “planète bleue”.

 

Mais que constatons-nous chaque jour sur cette belle planète ? Violences, guerres, actes terroristes, inégalités criantes, injustices, corruption, maladie, mort, dégradation de l’environnement… Quelle est donc la cause profonde d’une telle situation ? La Bible donne la réponse (Genèse 2 et 3) : au début, l’homme et la femme, créés par Dieu à son image, sont placés dans un cadre parfait et ont une relation de confiance totale avec Dieu. Mais très vite, le tableau s’assombrit. Tentés par Satan, ils choisissent de désobéir à leur Créateur (Genèse 3. 1-6). Leur relation avec Dieu est rompue. La violence surgit et le premier meurtre a lieu (Genèse 4. 8). Depuis, comme un poison déversé dans une source contamine tout le cours d’eau, l’humanité tout entière a perdu sa relation avec Dieu (Romains 3. 11, 12), avec toutes les conséquences évoquées précédemment. Et ce qui est solennel pour chaque individu, c’est qu’après la mort, cette séparation d’avec Dieu sera définitive et éternelle.

 

La situation est-elle donc désespérée ? Non, car Dieu aime sa créature et veut établir une relation filiale avec chacun de nous.

 

« Dieu est lumière… Dieu est amour. » (1 Jean 1, 5 ; 4, 8)

« Le sang de Jésus Christ son Fils nous purifie de tout péché. » (1 Jean 1, 7)

 

Comment rétablir, entre l’homme et Dieu, la relation qui a été rompue par la désobéissance du premier couple humain, avec les conséquences terribles ?

 

Dieu est juste et saint, il ne peut fermer les yeux sur le mal et doit le sanctionner, et le fait de façon pédagogique. Mais il est aussi amour, il n’a pas voulu pour nous une séparation éternelle d’avec lui. Alors il a établi un plan extraordinaire : il s’est approché de nous dans la personne de son Fils Jésus Christ. Celui-ci a quitté la gloire du ciel pour entrer dans l’espace et le temps, et naître sur notre planète dans une étable. Il a accepté que sa créature se saisisse de lui et le cloue sur une croix, il y a bientôt 2000 ans. Sur cette croix, Jésus a accepté d’être condamné à notre place pour nos péchés, lui qui n’avait jamais commis de péché. Et Dieu a fait tomber sur lui le jugement que nous méritions. Puis Jésus est mort et a été mis dans un tombeau.

 

Si le plan de Dieu s’arrêtait là, ce serait désespérant : pas de salut possible. Mais non ! Le surlendemain, Jésus Christ est sorti du tombeau, vainqueur de la mort. Sa résurrection atteste que la justice de Dieu est satisfaite par ce sacrifice : il peut nous pardonner !

Par ailleurs, après Jugement Dernier, qui sera précédé par l'Apocalypse et le Retour en Gloire de Jésus, Dieu recréera, restaurera sa Création à l'état de perfection qui était la sienne avant que Satan, puis l'homme ne la dégradent. Que les écolos soient éblouis par ce qu'ils verront ! Que les hommes épris de Justice et d'Amour soient comblés ! Et ils le seront. Car Dieu fait ce qu'il dit. Toujours. La Bible en est la trace.

 

L’astronaute James Irwin (1930-1991) a déclaré : « La plus grande chose pour l’humanité, ce n’est pas que l’homme ait marché sur la lune mais que Dieu ait marché sur la terre en la personne de Jésus Christ ». La venue de Jésus sur la terre a bouleversé l’histoire. A-t-elle changé votre vie ? Avez-vous une relation avec Dieu ?

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SUR QUELLES FONDATIONS
LE CHRISTIANISME SE BASE-T-IL ?

Le christianisme se base sur l’Incarnation de Dieu en homme (le Fils de Dieu s’est fait homme) et sur la Résurrection de Jésus.

 

Si Jésus n'est pas ressuscité, le christianisme n'a pas lieu d'être.

Mais alors, existe-t-il  des preuves de l'existence de Jésus, de sa résurrection. Pourquoi Jésus serait-il le seul à être crédible et à apporter une solution définitive au mal-être et au mal ?

Pourquoi le christianisme serait-il la voie définitive, unique et universelle, de Dieu ?

Pourquoi  Jésus serait-il le seul à nous amener vers l'Unique Dieu ? Que penser des autres religions ?

Et vu que les chrétiens ne sont pas les seuls à vivre une expérience spirituelle intense (juifs, musulmans en connaissent aussi), comment échapper à la tentation relativiste, comment prétendre que le christianisme est plus "valable" que les croyances des autres ?

Pourquoi pas Bouddha ou Mahomet ?

Réponse sur cette page

QUELS SONT LES ARGUMENTS PERMETTANT D'AFFIRMER QUE LE DIEU DES CHRÉTIENS
EST L'UNIQUE,
QU'IL PARLE, AIME ET SAUVE
PAR JÉSUS CHRIST ?

Le christianisme se base donc sur l’Incarnation de Dieu en homme (le Fils de Dieu s’est fait homme) et sur la Résurrection de Jésus. Si Jésus n'est pas ressuscité, le christianisme n'a pas lieu d'être.

Mais alors, existe-t-il  des preuves de l'existence de Jésus, de sa résurrection. Pourquoi Jésus serait-il le seul à être crédible et à apporter une solution définitive au mal-être et au mal ? Pourquoi le christianisme serait-il la voie définitive, unique et universelle, de Dieu ? Pourquoi  Jésus serait-il le seul à nous amener vers l'Unique Dieu ? Que penser des autres religions ?

Et vu que les chrétiens ne sont pas les seuls à vivre une expérience spirituelle intense (juifs, musulmans en connaissent aussi), comment échapper à la tentation relativiste, comment prétendre que le christianisme est plus "valable" que les croyances des autres ? Pourquoi pas Bouddha ou Mahomet ?

Réponse sur cette page

1. Des miracles inexpliqués par la science, des conversions opérés sous le seul nom de Jésus

Seul Jésus fait des miracles
Il guérit l’homme pour prouver la validité de sa Parole quand elle témoigne de l’invisible.

Jésus est le seul qui, depuis 2000 ans, confirme par la Puissance de son Agir (conversions inattendues, guérisons miraculeuses, morts revenus à la vie) – qu'il est le Fils du seul et unique Dieu de l'Univers. Ces signes et prodiges accréditent avec puissance que la religion chrétienne n’est pas une idéologie, mais une réalité. Ni Bouddha, ni Mahomet ne peuvent, et ne pourront jamais, en dire autant, car ils sont pure inspiration humaine.


Dieu, fidèle à son amour pour tous les hommes, guérit aussi, néanmoins, des non-chrétiens.  S'il ne guérissait que des chrétiens, ce serait une preuve trop évidente que seul le Dieu des chrétiens est le bon, elle contraindrait à croire à lui, ce qui ne relève pas de la volonté de Dieu qui veut être cherché, trouvé, et aimé librement. 


Cependant, il a semble-t-il donné des indices qui convergent : des ex-athées, ex-musulmans, etc., ne cessent de témoigner de la rencontre qu'ils ont faite avec le Christ, des guérisons instantanées de maladies extrêmement graves sont inexpliquées par les médecins, tout ceci se produisant lors d'offices chrétiens, ou dans des lieux chrétiens, ou consécutivement à des prières chrétiennes…

  • les guérisons miraculeuses n’ont jamais cessé de se produire ici et là, dans les communautés chrétiennes, et on peut les vérifier aujourd’hui avec toutes les exigences de la critique historique et de la science. Rappelons que les critères actuels de l'Église catholique sont encore plus draconiens que ceux du collège des médecins, chrétiens ou non, qui se réunissent pour donner leur avis sur un miracle de guérison… Ainsi, de nombreuses guérisons, parce qu'en plusieurs étapes par exemple, ne sont pas considérées comme miraculeuses par l'Église. Le fait que la guérison totale n'ait pas été immédiate, mais en plusieurs étapes, ne présume en rien d'une guérison qui ne viendrait pas de Dieu, car il lui arrive de préférer ces étapes pour faire suivre un chemin particulier à une personne donnée.

  • il guérit en plus grand nombre (à travers la prière) des chrétiens

  • les hauts lieux de guérisons inexplicables, tels que Lourdes, sont exclusivement des lieux chrétiens. Il n'en existe pas d'autres au monde. Concernant les conversions au christianisme, il y a, là aussi, des lieux exclusivement chrétiens, où il se passe des choses inouïes, et en très grand nombre : d'abord, les églises, ensuite, les grands rassemblements tels que les JMJ, les conventions interconfessionnelles œcuméniques (qui rassemblent, depuis une cinquantaine d'années, les chrétiens de diverses sensibilités et où l'union de leurs prières touche particulièrement le cœur de Dieu qui y effectue de nombreuses guérisons, demandées au nom de Jésus Christ), et aussi des lieux privilégiés : par exemple Medjugorje : combien de conversions d'athées dans ce haut lieu du christianisme (où pourtant on peut avoir des doutes légitimes sur le fait que la Vierge Marie s'exprimerait régulièrement à travers les "voyants" du lieu…). À noter que beaucoup de conversions, de guérisons, se produisent pendant, ou après, des adorations eucharistiques (lorsque Jésus est présenté sous forme d'hostie), les nombreux témoignages de convertis, de futurs religieux, de guéris, abondent en ce sens.

 

On ne peut pas prétendre, pour ne pas avoir à se poser de questions, que toutes ces personnes, de tout milieu social, des quatre coins du monde, sont des illuminées ou intéressées : leur témoignage ne leur rapporte rien.

Actuellement, on assiste à un raz de marée de conversions au christianisme, notamment en Afrique et en Asie, et en particulier chez les musulmans. 

 

Des légions d'ex-athées, communistes, bouffeurs de chrétiens, taulards, personnes de la pègre, anonymes, juifs, etc., confirment eux aussi, non seulement l'existence de Jésus, mais Sa Puissance, clamant haut et fort qu'ils ont fait LA RENCONTRE de leur vie. Et pas celle de Mahomet ou de Bouddha, mais celle de Jésus, le Christ. Écoutez-les si ce n'est pas encore fait. Leurs témoignages, crédibles, figurent dans les pages de ce site figurant sous l'onglet Dieu existe-t-il de ce site.

Les autres traces laissées par Jésus

  • le Linceul de Turin (à lire sur ce site) : après 500 000 heures d'études, la science avoue son impuissance à expliquer comment "l'image" d'un crucifié, portant qui plus est une couronne d'épines, a pu "s'imprimer" sur un linceul. 

  • Les miracles eucharistiques : des hosties se mettent à saigner. Au milieu des inévitables supercheries, il y a tout de même des cas troublants, notamment celui de Buenos Aires. Lire sur la page Miracles eucharistiques

  • Les corps incorrompus ou intègres : pour la plupart, des saints chrétiens, retrouvés de nombreux mois ou années après leur mort, non putréfiés. Lire sur la page Corps incorrompus
     

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2. Jésus, l'Unique, l'Exception

« Jamais homme n'a parlé comme cet homme »

C'est la réponse d'un des gardes aux autorités religieuses de Jérusalem qui l'ont envoyé arrêter Jésus et qui lui demandent pourquoi il n'a pas exécuté cet ordre. Les autorités religieuses juives souhaitaient sa mort car elles n'ont pas supporté qu'il puisse entamer leurs privilèges, ce qui les a amenées à s'aveugler devant les prodiges de Jésus authentifiant sa qualité de Fils de Dieu.

Jésus a-t-il vraiment existé ?

Jamais, pendant dix-huit siècles, quiconque n'a remis en cause la réalité de l'existence de Jésus, pas même ses adversaires, juifs, romains, païens qui l'ont violemment critiqué.

C'est seulement à partir de la fin de XVIIIe siècle que l'historicité de Jésus a été contestée, pour des motifs insuffisants, par des écrivains et non des historiens. Et ces derniers ont démonté une à une les théories avancées.

 

Aucun historien sérieux ne remet donc en question l'existence historique de Jésus, notamment parce qu'il y a plus de preuves de son existence que de celles d'autres grandes figures historiques telles Jules César, pourtant né 100 ans avant lui.

Les critères historiques prouvant l'existence de Jésus

Pourtant, la vie terrestre de Jésus, humble et obscure pendant trente ans, puis de prédication durant trois ans avant de mourir sur une croix, n'avait rien pour retenir l'attention des premiers historiens du début du premier millénaire, plus préoccupés par les événements militaires glorieux et les grandes figures. Toutefois, les brèves allusions à son sujet sont significatives.
Jésus a pourtant eu beaucoup de disciples et chacun a, au péril de sa vie, après sa Résurrection, témoigné de ce qu'il avait vu et entendu dans les 27 livres du Nouveau Testament qui présentent tous les critères de fiabilité historique pour plusieurs raisons :
•    les adultes qui avaient été contemporains du Christ pouvaient réagir à la véracité des écrits, or ils ne l'ont pas fait ;
•    mis à part certains détails mineurs de divergence facilement explicables, ils abondent de détails géographiques et historiques qui concordent parfaitement ;
•    ceux qui ont écrit les Évangiles rapportent aussi leurs craintes, doutes et faiblesses et aussi les reproches que leur a adressés Jésus ;
•    comment mettre en doute la véracité des faits qu'ils rapportent et leur sincérité, quel intérêt auraient-ils eu à mentir, pour tromper qui et obtenir quoi ? Alors que, justement, attester de la vérité de ces témoignages risquait de leur coûter la vie. Or des milliers de chrétiens ont effectivement accepté de risquer ou de donner leur vie pour cela.

L'existence de Jésus est aussi attestée par les témoignages de contemporains des apôtres dans les 1er et IIe siècles, ainsi que dans les récits dits "apocryphes", puis par les pères de l'Eglise dont un proche collaborateur de l'apôtre Saint Paul, etc. D'autres écrits non chrétiens de l'Antiquité ne mettent jamais non plus en doute l'existence de Jésus : ni les juifs, dans le Talmud, ni l'historien Flavius Josèphe qui cite « Jésus, habile faiseur de prodiges » qui fut « condamné à la croix ». Et aussi Celse, Pline, Tacite…

On pourrait facilement assimiler Jésus à un magicien, et les chrétiens à des illuminés crédules, si d'une part, la Bible et les Évangiles, mille fois persécutés et qui auraient dû disparaître, n'avaient subsisté et si, comme nous l'avons dit plus haut, les miracles ne s'étaient poursuivis au fil des siècles… et s'ils ne persistaient pas à notre époque. 

Pour en savoir encore plus, lire sur Aleteia :

Jésus a-t-il vraiment existé ?
Jésus accusé devant le Sahedrin

Le chef du Sanhedrin accuse Jésus, la veille de sa mort.

La personnalité unique de Jésus, le Dieu qui s'est fait pauvre

Quel que soit le jugement final qu’on porte sur lui, Jésus avait une personnalité très riche, faite de contrastes saisissants, qu’on ne trouve pas chez les autres grands mystiques de l’histoire :

  • Une doctrine extrêmement profonde qui s’exprime en images et en paraboles toutes simples

  • Un sens très développé de la transcendance de Dieu qui s’allie à une grande familiarité vis-à-vis de lui, allant jusqu’à l’appeler « Papa » et jamais on ne le voit se reconnaître pécheur devant lui, ce qui est inouï. Dans l’histoire religieuse de l’humanité, tous ceux qui, jusqu’ici, sont à l’origine d’un grand courant spirituel, ont reconnu qu’à un certain moment de leur existence, leur vie avait basculé, qu’ils avaient eu à se convertir : le Bouddha, Moïse, David, Paul, Augustin, Mahomet… Jésus fait totalement exception.

  • Une extrême indulgence à l’égard des pécheurs, qui s’allie à la proclamation d’exigences spirituelles inouïes « aimez vos ennemis, pardonnez sans cesse,  ne faites rien pour être bien vu des hommes », etc. Jésus place très haut la barre de la perfection à laquelle il appelle les hommes mais, en même temps, il va répétant qu’il n’est pas venu pour les bien-portants et pour les justes, mais pour les malades et les pécheurs.

  • Une indépendance extrême à l’égard de l’opinion d’autrui qui ne dégénère jamais en mépris ou indifférence

  • Un très grand désir de voir son message entendu et une absence totale de propagande en faveur de lui-même : il refuse catégoriquement que l’on fasse de la publicité autour de ses miracles

  • Un homme qui affirme être le Messie attendu depuis des siècles par le peuple juif, mais qui ne réalise pas l’image qu’on se faisait habituellement du Messie chez les juifs qui attendaient un Messie-Roi très humain, qui les débarrasserait des Romains !

  • Dieu, au contraire, est toujours dans la nouveauté, la surprise, le déroutant. Dieu est toujours là où on ne l'attendait pas : après avoir parlé par la bouche de prophètes qu'il envoyait au peuple juif, il surenchérit sur l'attente très "humaine" des juifs en se diminuant, en s'incarnant en homme (dingue !) pour pouvoir mieux se mettre à la proximité immédiate de l'humanité et lui délivrer son message ultime d'amour : en regardant Jésus sur une croix, on a la plus grande preuve d'amour de Dieu pour les hommes, Dieu s'étant laissé crucifier par ses créatures pour le leur prouver.

Une journée-type dans la vie de Jésus, l'Homme Dieu entièrement dévoué au bien-être de l'Homme

« Jésus parcourait toute la Galilée ; il enseignait dans leurs synagogues, proclamait l’Évangile du Royaume, guérissait toute maladie et toute infirmité dans le peuple. Sa renommée se répandit dans toute la Syrie. On lui amena tous ceux qui souffraient, atteints de maladies et de tourments de toutes sortes : possédés, épileptiques, paralysés. Et il les guérit. De grandes foules le suivirent, venues de la Galilée, de la Décapole, de Jérusalem, de la Judée, et de l’autre côté du Jourdain. » (Matthieu 4, 23-25)

 

Témoin de la miséricorde inconditionnelle du Père, Jésus n’avait guère de temps pour lui-même. Dès qu'il a entamé sa mission, à l'âge de 30 ans, après avoir vécu dans l'anonymat avec sa mère, la Vierge Marie, et son père (Joseph celui qui le protégeait, lui et sa mère, sur terre et lui a donné son nom, mais qui ne l'avait pas engendré puisque, rappelons-le, Jésus-homme est directement issu de Dieu le Père, cette Incarnation restant très mystérieuse mais ramenée à "l'échelle" que nous percevons de Dieu, créateur de l'Univers, d'une grande simplicité), à Nazareth, sa vie a été celle d'un homme harcelé du coucher du soleil à bien avant l’aube.


En Palestine, il a passé de l’espace religieux de la synagogue à l’espace privé des maisons de ses apôtres, des endroits déserts à des villages voisins avec le même objectif : proclamer l’Évangile, ici comme ailleurs. Faire reculer le mal et apporter la guérison, le bien-être, aux hommes. Situant son action d'emblée au niveau de l'essentiel et du définitif, guérissant d'abord les âmes  en pardonnant les péchés. Puis en guérissant les corps.

Pour cela, il prend son temps avec chaque personne, posant des gestes d’humanité, de compassion, d’amitié, de guérison, de libération. Pour lui, ce qui importe, c’est la paix, c’est le bonheur, c’est la vie et la santé donnés aux hommes de la part de Dieu. Car, il faut que chacun soit bien dans son corps comme dans son esprit pour être capable de se lever, de marcher, de s’épanouir, dans le service des autres. De vivre une vie selon Dieu, pour ensuite mourir sans hantise et être reçu dans les bras de Dieu, avec son Amour, pour l'éternité.


Comment se ressourçait-il de cette activité harassante, au service des malades et des possédés ? Par une longue prière en solitude. Tel a été le rythme du Fils de Dieu pendant sa courte vie de mission. C'est ainsi qu'il a intensément vécu son union avec le Père qui l'a envoyé et sa solidarité avec les hommes qu'il est venu sauver. Authentiquement homme lorsqu'il est seul devant Dieu ; réellement Fils de Dieu lorsqu'il est perdu dans la foule des hommes : « En tout point semblable à ses frères, et en même temps accrédité auprès de Dieu. » (Hb 2,17). Une double communion qui était pour lui l'expression spontanée de son être de médiateur : la communion avec le Père et la communion avec les frères et les sœurs.
Vivant depuis plus de 2000 ans, Jésus est sans repos, il ne dort jamais et agit dans le monde chaque jour, guidant, convertissant, sanctifiant, apprivoisant les hommes, nous éveillant à l'universel, à son propre souci du salut des hommes. Et il reste le seul et unique médiateur entre le Père, Notre Père commun, et nous. Nous pouvons compter sur lui : homme lui-même, Jésus est fou des hommes. Majesté du plan de sauvetage de Dieu qui a choisi de s'incarner en homme pour mieux lier, par un pacte d'amour éternel, sa vie de Dieu à sa créature.

Jésus mutiplie les pains comme les miracles au XXIe siècle

Jésus, lors du miracle de multiplication des pains, a nourri 5 000 personnes avec cinq pains et deux poissons.

Le Christ, unique médiateur

Par une disposition tout à fait libre et mystérieuse de sa sagesse et de sa bonté, le Père éternel a créé l’univers. Il a voulu élever les hommes jusqu’au partage de la vie divine. Et une fois qu’ils eurent péché en Adam, il ne les abandonna pas ; sans cesse il leur offrit des secours pour leur salut en considération du Christ rédempteur "qui est l’image du Dieu invisible, le premier-né de toute créature".


Dieu veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité.
Dieu a envoyé son Fils, c’est-à-dire le Verbe éternel qui éclaire tous les hommes, pour habiter parmi les hommes.
Dieu a Lui-même fait connaître au genre humain la voie par laquelle  les hommes peuvent obtenir le salut dans le Christ et parvenir à la béatitude : Dieu a créé l’homme en vue d’une fin bienheureuse, au-delà des misères du temps présent. Cette mort corporelle, à laquelle l’homme aurait été soustrait s’il n’avait pas péché, sera un jour vaincue, lorsque le salut, perdu par la faute de l’homme, lui sera rendu par son tout-puissant et miséricordieux Sauveur. Car Dieu a appelé et appelle l’homme à adhérer à Lui de tout son être, dans la communion éternelle d’une vie divine inaltérable. Cette victoire, le Christ l’a acquise en ressuscitant, libérant l’homme de la mort par sa propre mort

L’Évangile annonce cette Bonne Nouvelle et proclame la liberté des enfants de Dieu, il rejette tout esclavage qui enfin de compte provient du péché, respecte scrupuleusement la dignité de la conscience et son libre choix, enseigne sans relâche à faire fructifier tous les talents humains au service de Dieu et pour le bien des hommes, enfin confie chacun à l’amour de tous.
Cette unique vraie religion subsiste dans l’Église catholique et apostolique à qui le Seigneur Jésus a confié le mandat de la faire connaître à tous les hommes.
Tous les hommes sont appelés à cette union avec le Christ, qui est la lumière du monde, de qui nous venons, par qui nous vivons, vers qui nous tendons. La mission du Christ s’accomplit donc dans l’Église.


Tous les hommes sont appelés à former le nouveau Peuple de Dieu. En conséquence, ce peuple doit… s’étendre au monde entier et en tous les siècles afin que s’accomplisse le dessein de Dieu, qui au commencement créa la nature humaine une et voulut ensuite rassembler en un seul corps ses enfants dispersés
Quiconque suit le Christ, homme parfait, devient lui-même plus homme… Aucune loi humaine ne peut assurer la dignité personnelle et la liberté de l’homme comme le fait l’Évangile du Christ, confié à l’Église.
Aussi l'Église annonce, et elle est tenue d’annoncer sans cesse, le Christ qui est « le chemin, la vérité et la vie » (Jean 14, 6), dans lequel les hommes doivent trouver la plénitude de la vie religieuse et dans lequel Dieu s’est réconcilié toutes choses. 
 

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Jésus, homme, Dieu, frère et Seigneur

« Pour moi, Jésus Christ est le meilleur Ami vivant au milieu de nous, avec chacun de nous, dans la mesure où nous désirons Le rencontrer, Le consulter : ce n’est pas un mythe.
Je Le vois Homme, Frère et Seigneur à la fois, toujours là, présent, vibrant de vie et d’amour, ému de tendresse lorsque je l’appelle.
Je ne m’adresse pas à Lui avec une mine compassée, Il est mon Ami, attentif à mon soupir, mais aussi à mn sourire, Il aime la joie confiante, la gaieté, toujours prêt à m’écouter… pas toujours à m’approuver.
Ses réponses faites parfois de silences plus ou moins longs m’apportent en fin de compte toujours mieux et plus ce que j’ai demandé ou espéré. Oui, pour moi, Jésus Christ est bien vivant parmi nous, discret, attentif, disponible pour tous. »

Denise Legrix, artiste peintre

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Jésus et la Résurrection, base de la foi chrétienne

La foi chrétienne à l’au-delà est la seule à se fonder sur l’expérience d’un homme revenu du royaume des morts, sur l’expérience du Christ ressuscité faite par ses disciples le jour de Pâques et dans les semaines qui suivirent. Le chrétien ose faire dépendre sa foi concernant l’au-delà du temps d’une expérience réalisée dans l’Histoire, sous Ponce Pilate.

Une proclamation provocante

Aucune religion n’a mis au centre de sa doctrine qu’un homme bien concret était ressuscité quelques jours après sa mort, qu’on l’avait vu et qu’on l’avait touché. Les bouddhistes n’ont jamais dit cela du Bouddha, les juifs de Moïse ni les musulmans de Mohammed.
À travers ses apparitions aux apôtres et disciples, le Christ, qui se montre vivant, révèle le caractère divin de sa résurrection, afin de susciter et de structurer leur foi. C’est sur cette foi des apôtres, dont ils ont témoigné jusqu’à la mort, sans que rien n’ait pu les empêcher de parler, que repose la foi chrétienne. Sa certitude vient de la certitude inébranlable de la foi des apôtres.

Des historiens ont dit que si le christianisme s’est répandu rapidement à l’époque, c’est qu’il contenait des éléments de doctrine en consonance avec les désirs du temps, notamment un idéal de fraternité universelle fort séduisant pour les esclaves qui attendaient leur libération. Mais ils devraient ajouter qu’au cœur de cette religion naissante se trouvait une affirmation en totale contradiction avec la mentalité païenne : la résurrection des corps !! Ils estimaient en effet que seule l’âme est digne d’entrée dans les champs élysées du paradis.

Une lumière aveuglante sort du tombeau de Jésus, dont la pierre a roulé sur le côté

Ils parlent de la Résurrection

« En tant que juriste j’ai effectué une recherche approfondie concernant les preuves avancées en faveur des événements autour de la mort de Jésus, j’en ai conclu qu’elles étaient solides. Comme homme de loi j’accepte sans aucune restriction ces preuves comme le témoignage d’hommes dignes de foi et en mesure de justifier le bien-fondé de leur affirmation », dit Sir Edward Clarke, juge à la Cour Suprême, en Grande-Bretagne. Cette déclaration résume bien d’autres recherches approfondies de tant de personnes au cours des siècles. 

Mais la certitude de la résurrection de Jésus ne repose pas uniquement sur de telles preuves. En effet, la Résurrection constitue LE thème central des Écritures. L’Ancien Testament l’annonce, le Nouveau Testament en donne le récit détaillé et la proclamation par ses témoins.

Comment la Résurrection de Jésus accrédite le christianisme et donne une réponse définitive au mystère de l'Homme

Ce qu'en a dit le pape Benoît XVI : « Ce n’est ni un mythe, ni un rêve, ce n’est ni une vision, ni une utopie, ce n’est pas une fable, mais un événement unique et définitif : Jésus de Nazareth, fils de Marie, qui au soir du Vendredi saint a été descendu de la Croix et mis au tombeau, est sorti victorieux de la tombe. À l’aube du premier jour après le sabbat, Pierre et Jean ont trouvé le tombeau vide. Madeleine et les autres femmes ont rencontré Jésus ressuscité ; il a été reconnu aussi par les deux disciples d’Emmaüs à la fraction du pain ; le Ressuscité est apparu aux Apôtres le soir venu dans le Cénacle et ensuite à beaucoup d’autres disciples en Galilée ».

Il ajoute : « L’annonce de la résurrection du Seigneur illumine les zones d’ombre du monde dans lequel nous vivons, a expliqué le pape. Je pense particulièrement au matérialisme et au nihilisme, à une vision du monde qui ne sait pas dépasser ce qui est expérimentalement constatable, et qui se retrouve inconsolée dans la conscience du néant qui serait le point d’arrivée ultime de l’existence humaine.

C’est un fait que si le Christ n’était pas ressuscité, le ‘néant’ serait destiné à l’emporter. Si nous retirons le Christ et sa résurrection, il n’y a pas d’issue pour l’homme et toute espérance demeure une illusion.

Mais précisément éclate avec force l’annonce de la résurrection du Christ, et elle est la réponse à la question incessante des sceptiques.

Ce n’est plus le néant qui enveloppe toutes choses, mais la présence amoureuse de Dieu.

« S’il est vrai que la mort n’a plus aucun pouvoir sur l’homme et sur le monde, il subsiste cependant encore beaucoup trop de signes de son antique domination, a poursuivi Benoît XVI. Si par la Pâque, le Christ a extirpé la racine du mal, il a toutefois besoin d’hommes et de femmes qui dans tous les temps et lieux l’aident à affirmer sa victoire avec les mêmes armes que lui : les armes de la justice et de la vérité, de la miséricorde, du pardon et de l’amour ».

Fête de la croix glorieuse, croix lumineuse et étincelles dans la nuit

Jésus, le maître de l'espace, du temps et de la matière, qui brûle les fautes des hommes dans son don à la croix

Quelles sont les preuves de la Résurrection de Jésus ? : comment les chrétiens peuvent-ils être sûrs de cette Résurrection ?

Les miracles

Depuis 2000 ans, Jésus Vivant se penche continuellement sur les hommes, il convertit, guérit, renvoie à la vie, tous les témoignages de ce site sont unanimes. Les miracles que Jésus opère depuis plus de 2000 ans sont des preuves éblouissantes de sa résurrection

Les Écritures relatant la Résurrection sont dignes de foi

Les témoins, au lieu d'enjoliver ou de taire ce qui pouvait faire douter, n'ont rien caché.

Si la Résurrection avait été inventée, les textes évangéliques auraient été écrits différemment et l'aventure religieuse du christianisme aurait avorté.

Le tombeau vide

Pour que ses disciples ne dérobent pas son corps, on avait mis une garde renforcée autour de son tombeau, mais ceux qui sont venus s'y recueillir n'ont pas trouvé son corps. Si les Romains ou les juifs l'avaient eux-mêmes dissimulé, ils auraient pu l'exposer publiquement pour étouffer la rumeur de sa résurrection.

Une mort non contredite par les adversaires de Jésus
Les témoignages rapportés n'ont pas été contredits. Aucun juif du 1er siècle n'a jamais nié l'existence de Jésus, encore moins sa mort. Les adversaires de Jésus n'ont donc jamais contesté sa mort qu'ils ont voulue car Jésus faisait de l'ombre à leur pouvoir, leur réputation, et tout ce qui ne correspondait pas à leurs vues ne pouvait venir de Dieu, selon eux. Leur aveuglement devant les miracles inouïs de Jésus, signature de Dieu, n'a d'égal que leur orgueil démesurés.
L'argument de la substitution des musulmans ne tient pas. Jésus bel et bien mort, vu le supplice qu'il a enduré avant même la crucifixion. Sur ce site, vous pouvez lire à ce sujet les conclusions des médecins suite au récit de la Passion des Évangiles, et de ceux qui ont étudié le Linceul de Turin : ils sont tous formels : Jésus aurait déjà dû mourir dès les premières minutes de sa crucifixion. De plus, le coup de lance qu'il a reçu d'un soldat juste après sa mort ne peut laisser aucun doute, du sang et de l'eau s'étant échappé de la plaie.

Une lance romaine comme celle qui a percé le côté de Jésus

Les juifs ont dit que le corps a été dérobé par les disciples  :
Si c'était le cas, alors :

  • pourquoi les gardes qu'ils avaient postés n'ont-ils rien vu, ni agi pour empêcher cela ?

  • comment les disciples, terrifiés, auraient-ils procédé ?

Quelques heures après la mort de Jésus, les apôtres et disciples qui (à l'exception de Jean et Marie Madeleine, d'autres femmes et de la mère de Jésus) l'ont abandonné et se sont enfuis, à partir, ou peu de temps après son arrestation, reviennent, les uns après les autres, au Cénacle, la maison de Jérusalem où ils se réunissaient avec Jésus. Parmi eux, Pierre, lui, a été reconnu, à proximité immédiate du tribunal qui jugeait Jésus, et pétri de crainte, l'a renié trois fois, exactement comme le maître le lui avait prédit. Puis il s'est terré quelque part, pétrifié de peur à l'idée d'être reconnu.

À présent, tous sont terrifiés. Ils savent que Romains et autorités juives sont décidés à faire disparaître tous ceux qui se disent les disciples de Jésus. Les Romains par crainte d'une révolte, les Juifs pour conserver leurs privilèges. Aussi sont-ils à la recherche des amis du "Nazaréen" dans les rues de Jérusalem et cherchent à savoir où ils pourraient se cacher. Les disciples savent qu'ils peuvent subir le même sort que Jésus. Leur maître n'est plus là et ils sont bouleversés par les événements, par la mort de Jésus, par la peur. Tous pensent à sauver leur peau et non pas à la prophétie de Jésus, qui leur a annoncé Sa Résurrection. Pourtant, Ils ont vu de leurs yeux Jésus ressusciter Lazare et tant d'autres miracles, alors pourquoi doutent-ils et s'enferment-ils à double tour au Cénacle, dans la crainte d'être découverts, ne sachant que faire, car fuir, c'est prendre le risque d'être repéré dans les rues, et rester, c'est prendre celui d'être découvert, tôt ou tard.  

À cela doit s'ajouter leur grande tristesse d'avoir été lâches, d'avoir trahi leur maître en l'abandonnant alors qu'ils lui avaient juré fidélité jusqu'à la mort. Faut-il que la peur de subir le même sort que Jésus soit forte pour leur faire oublier les miracles que Jésus a accomplis devant eux et son annonce de sa Sa Résurrection ! Alors pour quelle raison auraient-ils pris le risque, ne serait-ce que de sortir du Cénacle, pouvant être repérés à n'importe quel instant ? Comment, ensuite, auraient-ils pu prendre  le risque de se rendre au tombeau, sachant qu'il était gardé par des Romains (et on suppose que des gardes des autorités religieuses s'y trouvaient également).

Deux des apôtres ne prennent le risque de sortir que pour vérifier par eux-mêmes l'incroyable nouvelle, que le tombeau est vide. D'autres sont déjà partis depuis la mort de Jésus. Et Jésus lui-même se manifestera à eux sur la route d'Emmaüs. Seules les femmes ont pris le risque de monter au tombeau, pour embaumer le corps de Jésus et parce qu'elles ne risquaient rien de la part des Romains ou des gardes religieux. Elles trouveront le tombeau vide…

Les apôtres et disciples ne reprendront un peu d'assurance qu'après avoir vu Jésus ressuscité. Puis, après qu'il sera remonté au Père, ils n'auront cette assurance proprement surnaturelle que lorsque Jésus leur aura envoyé l'Esprit Saint. Là seulement, ils sortiront et se mettront, sans peur, à proclamer partout que Jésus est Ressuscité ! Ne craignant plus ni emprisonnement, ni tortures, ni la mort. Rien ne les arrêtera plus. C'est une force surnaturelle qui les portera et fera se multiplier les messagers afin que, 2000 ans plus tard, le message vous parvienne, à vous aussi, devant votre porte.

On voit mal alors comment ils auraient pu s'emparer du corps de Jésus dans le tombeau, avec les risques encourus, et les gardes… Cette hypothèse ne tient pas.

 

Pourquoi les Evangiles relatent-ils les linges funéraires soigneusement pliés ?

Dans le cas d'un enlèvement, on n'aurait pas pris le temps de délier les linges. Avec ces trois mots seulement, un message nous est délivré : l’ordre dans lequel se trouvaient les linges montre avec quel calme et quelle dignité le Fils de Dieu a quitté le séjour des morts. De même qu’il avait lui-même remis son esprit, il était sorti lui-même de la mort à l’heure voulue, en laissant ce lieu dans un ordre parfait. Lazare était sorti lié du tombeau à la parole puissante de Jésus qui le ressuscitait, mais il avait fallu le délier pour qu’il marchât. Jésus, lui, n'a eu nul besoin de l’intervention d’autrui. Il a traversé toutes les phases de l’œuvre qu’il avait entreprise, depuis son arrestation à sa résurrection, en dominant cette scène de sa propre Résurrection avec la dignité et la puissance du Fils de Dieu. Des linges bien pliés…

La Résurrection de Jésus, vue par le cinéaste Mel Gibson

dans La Passion du Christ

La vidéo de la Résurrection de Jésus en tête de page

est issue de la série télévisée A.D. La Bible continue

Les rédacteurs ne se seraient pas appuyés sur le témoignage des femmes

La première personne à laquelle Jésus apparaît est une femme, Marie de Magdala. Or, à l’époque, le témoignage d’une femme était sans valeur, aucune ne pouvant déposer un témoignage recevable dans une cour de justice. « Dans le monde antique, romain, et surtout juif, si ce récit avait été inventé, on n'aurait donc pas attribué la découverte du tombeau vide à des femmes. » (Frank Duquesne, La Résurrection de Jésus Christ et la critique rationaliste)


Les évangélistes n'auraient pas relaté leurs doutes et ceux des autres disciples face à Jésus ressuscité

En effet, les disciples n'auraient pas accepté que soient diffusés des textes si peu valorisants à leur égard, s'ils étaient inexacts. Ils auraient inventé un Christ ressuscité facilement reconnaissable alors que dans les Évangiles, ils ont du mal à reconnaître Jésus qu'ils relatent dans son corps glorieux et comportant cependant les blessures de la croix.
« La grande singularité de Jésus par rapport aux autres fondateurs de religion, est qu'au moment de sa mort, le bilan de sa vie ressemble à un échec assourdissant », dit Antoine Nouis. Après la crucifixion, nous avons vu que les disciples, terrifiés et désespérés se barricadent dans le cénacle de Jérusalem. Ils ont peur des juifs et des Romains. Après les apparitions de Jésus et l'envoi de l'Esprit Saint, ils sont transformés, dès le jour même, en individus courageux et assurés : ce jour-là, que l'on a appelé ensuite Pentecôte, Saint Pierre sort du Cénacle et parle à une foule avec une assurance inouïe, ce discours ayant pour conséquence directe la conversion à la foi chrétienne de 3000 personnes simultanément.

WAOW ! DEUX COURTES VIDÉOS INÉDITES À NE PAS RATER !

  • L'Ascension de Jésus (son retour vers Dieu le Père après sa Résurrection, en présence des apôtres)

  • L'Envoi de l'Esprit Saint de Dieu aux apôtres le jour de la Pentecôte, comme Jésus le leur avait promis. 

 

Vous aussi, recevez l'Eprit Saint en devenant chrétien !​

Sincérité et discrétion des témoins au sujet des apparitions de Jésus après la Résurrection

La sincérité des évangélistes se manifeste par la discrétion avec laquelle ils nous parlent des apparitions du Ressuscité. Ce petit nombre de pages est d’autant plus impressionnant que la résurrection du Christ  constitue le noyau de la Bonne Nouvelle qu’ils désirent annoncer. Or quand on est sincère, on ne brode pas.

Silence total sur l’heure H de la Résurrection et la façon dont le Christ est sorti du tombeau. Ils n’ont pas cédé à la tentation de nous raconter des choses merveilleuses.

Extrême simplicité des récits qui contiennent des détails qui n’ont pas pu être inventés par les apôtres puisqu’ils ne commencent pas par une proclamation éclatante de l’événement.

Les apparitions du Christ n’ont rien de fulgurant. Il  vient tout simplement au milieu des siens, bien vivant.

Courte durée de la période des apparitions

Le Christ disparaît dès qu’on l’a reconnu, qu’il a transmis son message et envoyé ses apôtres en mission.

Jésus apparaît ressuscité à 500 personnes, le nom de certaines étant cité. Aucune d'entre elles n'a jamais témoigné du contraire.

 

Douze hommes qui ont témoigné au péril de leur vie

Après les apparitions de Jésus, son retour au Père (Ascension), et qu'il leur a envoyé Son Esprit Saint, nous avons vu que l'attitude des apôtres a complètement changé. Auparavant craintifs et enfermés dans le Cénacle, les douze sont allés de par le monde proclamer ouvertement la divinité de Jésus, sa Résurrection et l’Évangile (mot grec qui veut dire Bonne Nouvelle en français) : « Nous avons vu le Christ ressuscité des morts », crient-ils partout.

« Les hommes acceptent de mourir pour ce qu'ils croient être vrai, bien que cela puisse en réalité être faux. Ils ne meurent pas, toutefois, pour ce qu'ils savent être un mensonge. » Paul Little, Know why you believe

« Je crois aux témoins qui se font égorger », dit Blaise Pascal

Les juifs, plus tard, enfermeront les apôtres Pierre et Jean en prison pour avoir enseigné le peuple au sujet de la résurrection de Jésus. Les juifs sont bien ennuyés car Jésus confirme les paroles de ses apôtres en leur donnant le pouvoir de guérir miraculeusement un infirme. À la suite de cela, 5 000 personnes se convertissent d'un coup. Les juifs finissent par relâcher les deux apôtres en leur interdisant de parler de Jésus à l'avenir, afin que ce nom et ce qui va avec ne se propage pas ! Notons donc que les juifs ne disent pas que la résurrection du Christ ne s'est pas produite, mais veulent empêcher la propagation du christianisme afin de ménager leurs plates-bandes.

La conversion de Saül qui devient le plus grand apôtre du Christ, Saint Paul

La conversion de Saül, futur Saint Paul, par Vincent Carducho

Le juif Saül persécuteur de chrétien, devenu le grand Saint Paul, évangéliste pour le Christ : la plus grande conversion de tous les temps

Au temps de Jésus, tout comme depuis 2000 ans et actuellement, certaines personnes ont pu douter de l'existence de Jésus et de la résurrection des morts, donc par conséquent de celle de Jésus. Dans les Évangiles est rapportée la conversion de Saint Paul. Pourquoi est-elle si importante, et qui était donc ce fameux Paul ?
Nommé Saül, juif jusqu'au bout des ongles, c'était un 'bouffeur de chrétiens' persuadé que les chrétiens étaient des hérétiques et qu'il fallait les pourchasser, les exterminer. Il a assisté, certain d'être dans la Vérité, et au premier rang, à la première lapidation, au meurtre du premier chrétien, Étienne, devenu par la même occasion le premier martyr et saint chrétien.
Saül n'avait pas connu Jésus, déjà mort et ressuscité depuis plusieurs années. Alors que Saül se trouve sur la route de Damas où il s'apprête à persécuter tous les chrétiens qu'il y trouvera, puis à les rassembler afin de les ramener à Jérusalem où ils seront exécutés, Saül fait une puissante rencontre : celle du Christ ressuscité. Rendu aveugle, il est amené par ses accompagnants à Damas, où il reste trois jours sans boire ni manger, bouleversé. Jésus lui envoie un chrétien de Damas pour le rassurer et lui ramener la vue. Il s'ensuit une conversion stupéfiante. De juif bouffeur de chrétiens, Saül devient l'un des plus grands apôtres de Jésus, annonçant le Christ partout où il passe, exhortant, expliquant... Ses textes sont parmi les plus importants du Nouveau Testament. Son existence et ses écrits n'ont jamais été contestés par quiconque, notamment par ceux qui sont devenus ses ennemis : les juifs.

Portrait de Saint Paul, grand témoin du Christ Vivant

Saint Paul

Voici ce que Saint Paul écrit au sujet de la Résurrection, et celle de Jésus :
« Frères, je vous rappelle la Bonne Nouvelle que je vous ai annoncée ; cet Évangile, vous l’avez reçu ; c’est en lui que vous tenez bon, c’est par lui que vous serez sauvés si vous le gardez tel que je vous l’ai annoncé ; autrement, c’est pour rien que vous êtes devenus croyants.
Avant tout, je vous ai transmis ceci, que j’ai moi-même reçu : le Christ est mort pour nos péchés conformément aux Écritures, et il fut mis au tombeau ; il est ressuscité le troisième jour conformément aux Écritures, il est apparu à Pierre, puis aux Douze ; ensuite il est apparu à plus de cinq cents frères à la fois – la plupart sont encore vivants, et quelques-uns sont endormis dans la mort –, ensuite il est apparu à Jacques, puis à tous les Apôtres.
Et en tout dernier lieu, il est même apparu à l’avorton que je suis.
Car moi, je suis le plus petit des Apôtres, je ne suis pas digne d’être appelé Apôtre, puisque j’ai persécuté l’Église de Dieu. Mais ce que je suis, je le suis par la grâce de Dieu, et sa grâce, venant en moi, n’a pas été stérile. Je me suis donné de la peine plus que tous les autres ; à vrai dire, ce n’est pas moi, c’est la grâce de Dieu avec moi.
Bref, qu’il s’agisse de moi ou des autres, voilà ce que nous proclamons, voilà ce que vous croyez.
Nous proclamons que le Christ est ressuscité d’entre les morts ; alors, comment certains d’entre vous peuvent-ils affirmer qu’il n’y a pas de résurrection des morts ?
S’il n’y a pas de résurrection des morts, le Christ non plus n’est pas ressuscité.
Et si le Christ n’est pas ressuscité, notre proclamation est sans contenu, votre foi aussi est sans contenu ; et nous faisons figure de faux témoins de Dieu, pour avoir affirmé, en témoignant au sujet de Dieu, qu’il a ressuscité le Christ, alors qu’il ne l’a pas ressuscité si vraiment les morts ne ressuscitent pas.
Car si les morts ne ressuscitent pas, le Christ non plus n’est pas ressuscité.
Et si le Christ n’est pas ressuscité, votre foi est sans valeur, vous êtes encore sous l’emprise de vos péchés ; et donc, ceux qui se sont endormis dans le Christ sont perdus.
Si nous avons mis notre espoir dans le Christ pour cette vie seulement, nous sommes les plus à plaindre de tous les hommes.
Mais non ! le Christ est ressuscité d’entre les morts, lui, premier ressuscité parmi ceux qui se sont endormis.
Car, la mort étant venue par un homme, c’est par un homme aussi que vient la résurrection des morts. » (1 Corinthiens, 15, 1-21)

C'est Saint Paul qui cite 500 personnes témoins de la Résurrection du Christ. Parmi ces personnes, certaines auraient pu se manifester pour dire leur désaccord si elles considéraient qu'il ne disait pas la vérité et pour contester avoir vu le Christ ressuscité. Or elles ne l'ont pas fait. 

La foi en la Résurrection : une diffusion en temps record

En l’an 36 ou 39, soit six ou neuf ans après la mort de Jésus et sa résurrection,  il existait déjà des chrétiens qui croyaient à sa résurrection (en dehors des témoins directs).  C'est important, car à supposer que la foi en la résurrection de Jésus ait été forcée de toutes pièces par ses premiers disciples, ce qui est forcément la thèse de l’historien incroyant, cette création du mythe se serait accomplie en un temps record, même pas en dix ans. Or l’on sait, par l’histoire des religions, que les mythes religieux mettent toujours beaucoup plus longtemps à se créer.

 

Il n'y a pas de preuve indiscutable, mais beaucoup d'éléments indirects permettant de se façonner une intime conviction. Tous les rationalistes ne parviennent pas à expliquer eux-mêmes rationnellement le tombeau vide, les apparitions de Jésus après la mort, la diffusion de la foi chrétienne dans le monde, et ne proposent aucune alternative plausible à la résurrection de Jésus. Par conséquent, ceux qui refusent d'accepter la résurrection comme un fait historique avouent qu'ils n'ont simplement aucune explication.

 

Sources :

- Évangiles

- Bernard Legras, Jésus est-il vraiment ressuscité

- Père Pierre Descouvemont, Difficultés de la foi catholique

 

Pour aller encore plus loin :

https://l1visible.com/la-foi-chretienne-repose-t-elle-sur-un-mythe/ 

https://fr.zenit.org/articles/la-resurrection-de-jesus-n-est-pas-une-theorie-a-affirme-benoit-xvi/

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Si le grain ne meurt pas...

Un jour, un médecin athée feuilletait une Bible pour argumenter avec mépris contre elle, comme il avait l'habitude de le faire.  Il tomba sur le verset : « Mais, dira-t-on : Comment ressuscitent les morts, et avec quel corps reviennent-ils ? » (1 Corinthiens 15, 35). En tant que médecin, il ne croyait pas que le corps puisse ressusciter. Or, le mot suivant l'arrêta net : « Insensé ! » Il lit ensuite : « Ce que tu sèmes ne peut reprendre vie sans mourir d’abord. » La Bible répond à cette question en présentant une image que tout le monde a déjà rencontrée dans la nature : la germination d'une graine. Lorsqu'une graine est "en dormance", elle ne se développe pas. Mais quand elle est  mise en contact avec l'eau, la germination peut débuter, pour former une plante. La plante et la graine ont un aspect très différent, et cela ne nous pose pas de problème ! "Dieu lui donne un corps comme il l'a voulu : à chaque semence un corps particulier." (…) "Ainsi en est-il de la résurrection des morts…"

Alors qu'il cherchait à attaquer la Bible, ce médecin venait d'être ébranlé dans ses convictions, et il se tourna vers Dieu, qui a dit : « Je suis trouvé de ceux qui ne me cherchaient pas. » (Isaïe 65,1).

Mais Dieu se révèle aussi à ceux qui sont dans le doute et l'incertitude, à ceux qui recherchent la vérité, pour leur donner l'assurance de la vie éternelle : « Vous me rechercherez de tout votre cœur. » (Jérémie 29,13)

Rappelons que pour Dieu, créateur de l'Univers et de la matière, ressusciter un mort, ou encore le reconstituer de poussière à Vivant, est... enfantin.

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3. Le caractère unique et universel du christianisme, éblouissant message d'amour éternel de Dieu pour tout homme, de tout temps et en tout lieu

Cet amour unique, exclusif, fidèle, après lequel nous courons durant toute notre vie à travers les hommes et les femmes que nous choisissons comme compagnons ou compagnes, se trouve dans Son Cœur, et Il veut le partager avec nous, nous le donner. Contrairement aux animaux, Il nous a gratifiés d'une intelligence pour que nous Le cherchions, et Le trouvions.

« Toi » ou l'amour singulier de Dieu pour l'Homme, unique dans toutes les religions

Le christianisme est la seule et unique religion dans laquelle Dieu dit : « Toi ». Et « Toi, Je t’aime », en s'adressant aux hommes. Pourtant, l'homme n'est rien face au Créateur, qui, malgré cela, s'intéresse à lui, aux moindres détails de sa vie, allant jusqu'à vouloir partager avec l'homme sa vie, et dans ses aspects les plus ordinaires.

 

L’Abbé Pierre, interrogé par Bernard Chevallier, a révélé avoir sérieusement douté de la validité du christianisme face à d’autres religions :

« Un dimanche matin, pendant un cours de religion (…) comme un éclair a éclaté dans mon esprit : « Tu es chrétien, tu te prépares à engager toute ta vie sur cette foi, mais si tu étais né dans une famille musulmane, ou de quelque religion asiatique, ou d’athées militants, ou d’agnostiques, et que tu n’aies pas fait plus d’efforts personnels que tu n’en a déployés jusqu’à maintenant pour te rendre compte de la vérité ou de l’illusion de ta foi, te contentant d’écouter ce qu’on te dit, tu t’apprêterais à engager ta vie d’une toute autre manière. Par conséquent, quelle certitude as-tu d’être dans le vrai ? » L’abbé Pierre eut la réponse, une véritable révélation, au hasard d’une lecture : « Lui, l’Éternel [de la Bible] qui dit « Moi » [lorsqu’il parle à Moïse], ne parle que pour dire aussi « Toi ». (…) La vie était Quelqu’un. Et Quelqu’un d’Aimant. »

Un Dieu fou (d'amour)

La folie et la faiblesse de Dieu ?
« La folie de Dieu est plus sage que les hommes, et la faiblesse de Dieu est plus forte que les hommes. » (1 Corinthiens 1, 25)
« La parole de la croix (de Jésus Christ) est folie pour ceux qui périssent, mais pour nous qui obtenons le salut, elle est la puissance de Dieu… » (1 Corinthiens 1, 18)

Si ce premier verset cité n’était pas dans la Bible, aucun chrétien n’oserait attribuer à Dieu les caractères de folie et de faiblesse ! Comment Dieu, Créateur de l’univers, peut-il faire preuve de faiblesse, et comment peut-on attribuer au « Dieu qui seul est sage » (Romains 16. 27) le caractère de folie ?

Mais l’apôtre Paul utilise ici les termes qu’un incroyant applique à l’Évangile : Quoi, Dieu se fait homme, dans la personne de Jésus, et meurt crucifié, dans la honte, comme un brigand ? Il serait mort pour le pardon des péchés et ressuscité d’entre les morts ? Impossible ! Pour les Juifs qui attendaient un Messie glorieux, un roi qui les délivrerait du joug de l’empire romain, cette faiblesse apparente du Christ était un scandale. Pour les Grecs dont les philosophes recherchaient la sagesse, c’était une folie !
Et pourtant, ce plan de Dieu surprenant, tout à la fois humble, grand et puissant, s'est parfaitement exécuté. Le plan de sauvetage d'un Dieu fou d'amour.

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Dieu, vrai Père, Jésus l'ami

« Les chrétiens s’adressent à Dieu en osant l’appeler « Père ». Le rapport que nous avons avec lui n’est pas de servilité, marqué par la peur, mais une alliance, une amitié, une communion, comme Jésus l’enseigne : « Je ne vous appelle plus serviteurs, car le serviteur ne sait pas ce que fait son maître ; je vous appelle mes amis, car tout ce que j’ai entendu de mon Père, je vous l’ai fait connaître. » (Jean 15, 15). Jésus est l'ami de tous, en tout temps, en tout lieu. Il nous donne à voir en Lui : sa miséricorde, son désir de nous faire vivre, la force de son amitié de Sauveur.

Dans la confidence de la prière, il est possible de tout lui dire, tout lui demander. Il n’importe pas que nous nous sentions en faute envers lui, et, de fait, nous sommes souvent insuffisants, ingrats, infidèles. Mais Dieu est fidèle et, si les hommes cessent de l’aimer, lui continue d’aimer, même si l’amour le conduit au calvaire », dit le pape François.


De toutes les trois grandes religions monothéistes, seul le Christianisme prône un Dieu "Papa" (Abba en araméen, la langue du Christ). Le Judaïsme interdit même de citer son nom ; ce qui a poussé Jésus à modifier la prière juive, le Kaddish en la prière du "Notre Père". Quant à l’Islam, Allah a 99 titres dont aucun ne fait allusion à un Dieu Père ; l’idée d’un Dieu "père" est même inconcevable dans cette religion qui ne considère Dieu que comme une entité superpuissante à adorer.
 

L'amour inconditionnel d'un Dieu d'une fidélité à toute épreuve

Le 10 juin 2020, la catéchèse du pape a été consacrée au personnage de Jacob, « un homme imperméable à la grâce, réfractaire à la miséricorde », qui « ne savait pas qu’il avait besoin de miséricorde », « mais Dieu a sauvé ce qui était perdu. »
Et le pape a poursuivi : « Nous avons tous un rendez-vous dans la nuit avec Dieu, dans la nuit de notre vie, dans toutes les nuits de notre vie : des moments obscurs, des moments de péchés, des moments d’égarement ». « Nous prendrons conscience que nous sommes de pauvres hommes – je me permets de dire « de pauvres types » – mais justement alors, au moment où nous nous sentons de « pauvres types », nous ne devrons pas craindre : parce qu’à ce moment-là, Dieu nous donnera la bénédiction réservée à ceux qui se sont laissé transformer par lui. »
« Dieu est un allié fidèle, a insisté le pape ; si les hommes cessent d’aimer, il continue de nous aimer, même si l’amour le conduit au Calvaire. Dieu est toujours près de la porte de notre cœur et il attend que nous lui ouvrions. »
Le pape d’inviter ses auditeurs à « redire à Dieu, dans l’étonnement : "est-il possible que tu ne connaisses que l’amour ?" » avant de conclure : « Il ne connaît pas la haine. Il est haï, mais il ne connaît pas la haine. Il ne connaît que l’amour. Voilà le Dieu que nous prions. »

Dieu, infiniment puissant, mais infiniment humble

Un Dieu infiniment puissant, d'une immense générosité et aussi infiniment humble, qui souhaite l'échange, pas la servilité. Dieu est au cœur même de ses créatures, tout en restant distinct d’elles. Il est vraiment le Dieu très proche et totalement différent.

Pour montrer la sorte d’humilité que Dieu manifeste en créant le monde (Il accepte de ne plus être un seul Être), la cabale juive affirme que « Dieu se retire pour laisser de la place au monde ». C’est tout le contraire : « Il ne se retire pas de l’appartement pour donner du large, le large est en Lui. »  (André Manaranche). Oui, nous sommes le fruit d’une perpétuelle déclaration d’amour que Dieu nous adresse.

Une création de créateurs, une création d’être limités (en créant du "non-Dieu", Dieu crée forcément des êtres limités ; Il nous crée « à son image, à sa ressemblance », mais Il ne crée pas parfaits comme son Fils unique. Dans son geste créateur, Dieu pose des êtres hors de lui, pour leur bonheur, et suscite dans leur cœur un désir puissant qui les ramène à Lui, puisqu’il ne peut y avoir de bonheur plénier pour eux sinon en lui.

Tout Fils de Dieu qu’il était, Jésus a accepté de ne pas être immédiatement glorifié dans son humanité. Cette gloire, Il a accepté de la recevoir comme nous, après son pèlerinage sur terre, au terme d’une existence temporelle marquée par de grandes épreuves.

Ce n’est pas par besoin que Dieu a créé le monde. Il n’a pas besoin du monde pour échapper à la solitude, puisqu’il connaît en lui-même les joies de l’échange (avec son Fils et l’Esprit). La création n’est pas davantage le résultat d’un coup de dés, une fantaisie de prince. Elle est le fruit d’un amour, du désir de faire participer ses créatures au bonheur de son Fils bien-aimé, et à sa vie filiale.

Cet amour totalement désintéressé qui préside à la création ne contredit en rien l’affirmation souvent répétée que Dieu nous a créés pour sa Gloire. Cela ne veut pas dire en effet qu’il nous a créés pour avoir une armée d’adorateurs et d’adoratrices à ses pieds, en train de chanter ses louanges : l’Amour de son Fils lui suffit ! Cela ne signifie pas non plus qu’Il nous a créés pour mieux Se contempler dans ses œuvres : il Lui suffit de regarder son Fils pour se connaître parfaitement lui-même ! Si Dieu nous crée, c’est uniquement pour nous qu’il le fait, pour que nous soyons heureux, que nous vivions et que nous vivions en plénitude avant de le rejoindre, lui, source et but ultime. Sa générosité est donc immense.

Ce n’est donc pas pour accroître son bonheur que Dieu nous crée, ni pour acquérir une perfection quelconque, mais par pure bonté et pour le bien qui en revient aux créatures. Cependant, Dieu n’est pas du tout indifférent à l’amour de ses enfants. Sans en avoir absolument besoin, il y prend plaisir réellement.  Dieu a une façon unique de dire « je t’aime » à chacun d’entre nous. A chacun sa façon d’inventer une façon de lui rendre la pareille.

 

Avant de retourner vers le Père, Jésus n'a pas laissé les hommes seuls. Outre qu'il leur a envoyé l'Esprit Saint, il leur a laissé des sacrements au travers desquels il sanctifie les hommes, et une Église à la tête de laquelle il a mis l'apôtre Pierre, premier pape, Eglise qui mène (parfois très mal, c'est vrai) le troupeau en son nom et administre, toujours en son nom, via les prêtres, les sacrements.

Parmi ces sacrements, l'eucharistie, mémoire du dernier repas de Jésus avant sa mort, où il distribua aux apôtres le pain et le vin, symbole de son sacrifice sur la croix (chair et sang) en leur recommandant de renouveler cette distribution "en mémoire de lui". C'est ce que fait l'église lors de la messe et en particulier dans sa deuxième phase, celle de l'eucharistie. Alors, dans une petite hostie, Jésus se trouve présent, Dieu s'y faisant infiniment humble, s'abaissant à nouveau, pour venir au cœur de l'homme, dans son corps. Une hostie, on peut la piétiner, la voler, et pourtant, Dieu n'hésite pas à s'y placer pour mieux aimer celui qu'il aime tant : l'homme.

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Dieu est discret, il ne s'impose pas

Avec Pascal, nous disons : « Il y a assez de lumière pour ceux qui ont la foi, et assez d’obscurité pour ceux qui ne l’ont pas. » Dieu entrouvre le voile pour laisser transparaître suffisamment d'indices afin d'éveiller l'attention, sans jamais forcer, sans contraindre. Laissant chacun libre de poursuivre, ou non, la recherche, de souhaiter La Rencontre. Et lorsqu'elle a lieu (elle a toujours lieu lorsque l'homme cherche Dieu avec sincérité et le cœur humble), Dieu prend son temps pour apprivoiser celui qu'il veut conquérir par amour, uniquement par amour.

Dieu est Amour, mais aussi Justice

Dieu n'est pas un "papa gâteau" qui pardonne tout indistinctement car pardonner ne veut pas dire oublier ni ne pas demander réparation.

Tous, nous aurons affaire à Sa Justice, et devant Sa Sainteté, tellement immaculée qu'elle ne peut tolérer en Sa Présence le moindre péché, aussi petit soit-il, comme deux aimants contraires s'éloignent, nous n'aurons que peu de choses à faire valoir, sinon rien.

Mais Dieu Trois Fois Saint ne le sait que trop bien et comme il est fou d'amour pour nous et ne veut pas que nous puissions être sans défense aux mains de l'ennemi sur terre, puis éloignés de lui lorsque nous mourrons, à cause du péché qui nous défigure, il  a envoyé Son Fils pour réparer, premièrement le péché d'Adam et Ève, deuxièmement les péchés que chacun commet individuellement tout au long de sa vie et nous a proposé une ultime Alliance, d'Amour éternelle. C'est Jésus qui a tout payé, chèrement, c'est donc uniquement par lui que passe notre salut. Durant toute notre vie, il multiplie pour chacun d'entre nous les occasions de le rencontrer.

Alors, non, toutes les religions, croyances, ne se valent pas. Dieu n'a pas fait se sacrifier Son Fils, et créé Son Église pour que chaque humain se croie sauvé en croyant uniquement à la miséricorde de Dieu en oubliant sa Justice, ou en croyant n'importe quoi : (à la puissance de l'énergie des pierres, par exemple, ou en invitant chez vous le Mal en vous faisant ouvrir les chakras !), en croyant à d'autres religions qui excluent son Amour et nient la Résurrection de son Fils (islam) ou sont autocentrées sur l'individu et non pas sur la communion avec Dieu (bouddhisme), ou... en ne croyant pas, par exemple par orgueil (refus d'admettre une Toute-Puissance au-dessus de soi-même, à laquelle se soumettre par amour pour elle et par conviction que cette Puissance sait mieux que nous ce qui est bon pour nous), indifférence stupide («  Quoi ? Dieu existerait ???, pfff, je ne m'en suis jamais préoccupé... »).

Il y a aussi les chrétiens persuadés d'être sauvés... parce qu'ils vont à la messe le dimanche. Il y a toute les chances pour que le Christ leur dise : « Je ne vous connais pas » s'ils n'ont pas mis en mouvement toute leur bonne volonté pour mettre en pratique ses commandements d'amour et de respect de l'autre.

 

À chacun de saisir sa chance et la main qu'il vous tend sans cesse, notamment en vous faisant croiser ce site.

Il n'accordera pas le salut à tous.

Pour savoir tout ce qui concerne :

  • la Justice de Dieu

  • et ce qu'il se passe après la mort,

lisez la page Que se passe-t-il au moment de la mort

Loin de nous l'idée de faire pression sur les lecteurs de ce site, mais ne pas lire cette page serait, en quelque sorte, de l'inconscience.

Jésus reprend vivement les membres du Sanhedrin

Jésus dit leurs quatre vérités aux membres du Sanhédrin (chefs religieux de Jérusalem). Ils le feront mettre à mort. Dieu était devant eux et ils ne l'ont pas reconnu...

ll se trouvera toujours des hommes pour refuser soit l'existence du Christ, soit le paradoxe du Christ, pour ramener le Christ aux dimensions de l'ordinaire, et pour trouver insoutenable que Jésus Christ, vrai homme, agisse aussi en vrai Dieu.

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4. Les Saintes Écritures : histoire de l'Humanité et de l'Alliance que Dieu offre à chacun

Pour connaître quelles sont les preuves de la fiabilité de la Bible, lire la page Tout ce qu'il faut savoir sur la Bible : est-elle fiable ?

Toute l'histoire de l'Homme d'hier, d'aujourd'hui et de demain figure dans la Bible. Elle montre combien l'histoire se répète, comment les hommes persistent dans leur bêtise, mais comment, malgré cela, Dieu, avec patience, poursuit son stupéfiant discours d'amour en offrant, tant de fois, son Alliance.

Recherche exigeante de la vérité historique

Le chrétien n’est pas obligé de passer en revue toutes les synthèses religieuses du monde pour être assuré de sa foi. Il lui suffit de repérer les traces que Dieu a laissées de son passage dans l’Histoire depuis 4000 ans.  Le cœur de la foi chrétienne consiste en effet à penser que Dieu est entré dans un dialogue privilégié avec les hommes à partir d’Abraham et qu’Il nous a envoyé son Fils en personne sous le règne du délégué romain en Palestine Ponce Pilate. Si Dieu est Quelqu’un qui nous aime au point de vouloir nous faire entrer dans l’intimité de sa vie, n’est-il pas tout à fait raisonnable qu’Il choisisse une période de l’Histoire pour y entrer en conversation avec une poignée d’hommes et nous confier par leur intermédiaire quelques-uns de ses secrets ? Ces "conversations" sont relatées dans la Bible.

Les Évangiles, un message unique, universel, envoyé à tous les hommes, que l'islam contredit

Le message de l’Évangile répond aux aspirations les plus profondes du cœur humain, aspirations que les autres religions se satisfont que partiellement.

« Les chrétiens de l’Église naissante ne considéraient pas leur annonce missionnaire comme une propagande qui devait servir à augmenter l’importance de leur groupe, mais comme une nécessité intrinsèque qui dérivait de la nature de leur foi. Le Dieu en qui ils croyaient était le Dieu de tous, le Dieu Un et Vrai qui s’est fait connaître au cours de l’histoire d’Israël et finalement, à travers son Fils. » Benoît XVI, Discours aux Bernardins,  

Ils étaient douze et ils ont mis le feu au monde

L’Évangile, la grande Bonne Nouvelle de Dieu, a été annoncé dans le monde sans déploiement de richesse, de force ou d’éloquence, mais par Jésus, qui ne possédait rien sur cette terre. Ensuite par douze apôtres seulement, puis par des disciples qui ont annoncé le salut éternel par la foi en Jésus Christ, mort sur la croix et ressuscité par la puissance de Dieu. Ils l’ont fait malgré le danger, la persécution, parfois au risque de leur vie.

Une chaîne bimillénaire ininterrompue de témoins a porté à bras-le-corps la Bonne Nouvelle.

Et la puissance de l’Évangile a conduit à la foi, jusqu'au bout de la terre, une multitude de personnes de toutes nations et classes sociales, y compris des philosophes, des orateurs, des scientifiques, et cela jusqu’à aujourd’hui. 

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5. L'Église de Jésus Christ 

Elle est avant tout constituée du cœur de chaque homme qui accepte de le recevoir comme Dieu et Sauveur. Rappelons qu'il ne s'impose jamais…

Il y a ensuite l'Institution, l'Église catholique, dont le siège est à Rome. Le Christ lui-même a donné les clés de son Église à l'apôtre Pierre, premier pape. L'Église catholique perpétue cet acte de Jésus. Au fil des millénaires, elle est devenue cette institution presque malgré elle, car « l’Église n’est pas un mouvement politique, ni une structure bien organisée : ce n’est pas cela. La valeur de l’Église, fondamentalement, est de vivre l’Évangile et rendre témoignage de notre foi en Jésus. » (Pape François)

Une Église pleine de contrastes

Dieu continue à agir et à manifester sa présence au milieu de l’Eglise qu’il a fondée et qu’invisiblement il dirige. Actuellement, il agit pour que soit mises au jour toutes les horreurs qu’ont commises certains des prêtres et religieux qu’il avait appelés, ce qui est d’autant plus grave qu’on attendait d’eux, justement de par le fait qu’ils étaient hommes ou femmes d’Église, un comportement irréprochable. Les chrétiens ne craignent pas de regarder bien en face les défauts et les errances de leur Église tout au long de leur histoire, mais il faut aussi reconnaître et repérer les signes très concrets à travers desquels éclate, à leurs yeux, la lumière pascale du Ressuscité : le pourcentage de religieux fautifs, et gravement fautifs, est infime par rapport aux myriades de religieux qui donnent sans compter leur vie en prière, qui aident les personnes en difficulté partout dans le monde.
Jésus a choisi d’associer les hommes à son Eglise, tout en sachant qu’ils ne seraient pas parfaits ni indemnes de fautes graves.
Faut-il condamner tous les prêtres, religieux qui œuvrent dans le monde, et toute l’Église, sous prétexte que quelques-uns se sont montrés extrêmement fautifs ? Oublie-t-on aussi les Saints et Saintes qui ont jalonné l’histoire ?

Une Église ouverte comparée à la fermeture d'autres croyances

« Toutes les religions tentent de répondre aux questions fondamentales que se posent hommes et femmes sur la vie, le bien, le mal et la souffrance, le péché, le vrai bonheur, jugement et rétribution après la mort, etc. 
L’Église catholique ne rejette rien de ce qui est vrai et saint dans ces religions [monothéistes]. Elle considère avec un respect sincère ces manières d’agir et de vivre, ces règles et ces doctrines qui, quoiqu’elles diffèrent sous bien des rapports de ce qu’elle-même tient et propose, cependant reflètent souvent un rayon de la vérité qui illumine tous les hommes.

Toutefois, elle annonce, et elle est tenue d’annoncer sans cesse, le Christ qui est « la voie, la vérité et la vie » (Jn 14, 6), dans lequel les hommes doivent trouver la plénitude de la vie religieuse et dans lequel Dieu s’est réconcilié toutes choses. »

Passé sa période adolescente où, il est vrai, elle a guerroyé contre les "infidèles", qu'ils soient musulmans ou, en interne, protestants, l'Église catholique, plus adulte, applique maintenant à la lettre la grande ouverture prônée dans les Évangiles. Le christianisme lui-même, dans ses fondements, est marqué par une grande tolérance, liberté, ouverture, respect d'autrui, ce qui n'est pas le cas des autres religions.
Vatican II a proclamé le droit à la liberté religieuse. Quelle qu’elle soit. Ce qui n’est pas le cas des autres religions. La plupart des religions sont fermées sur elles-mêmes ou persécutent, parfois en punissant de mort, ceux qui ne croient pas en la doctrine professée. Or ce n'est absolument pas le cas de l'Église catholique et des chrétiens en général.
L'islam persécute, même en France, voire menace de tuer toute personne qui se convertit à une autre religion. 
L’Église du Christ est en dialogue avec tous les hommes sans exception et toutes les religions.

Croix surgissant de l'eau couronnée des flammes du Saint-Esprit

Humilité du chrétien qui ne dénigre pas les autres expériences spirituelles authentiques

Le chrétien considère les autres religions comme des tentatives plus ou moins heureuses, des esquisses par lesquelles, au cours des âges, les hommes se sont représenté le mystère de leurs origines, de leur destinée, et les rapports qu’ils pouvaient entretenir avec leur Dieu. C’est Dieu lui-même qui a permis – et qui apprécie – ces différents balbutiements, même s’ils comportent beaucoup d’erreurs. Les chrétiens ont toujours pensé que Dieu jugerait les hommes – chrétiens ou non, croyants ou non – en fonction de la façon dont ils auraient obéi à leur conscience.
Ce n’est pas en comparant son expérience spirituelle avec celle des autres croyants que le chrétien affirme la supériorité de son propre Credo. Il ne prétend pas rencontrer Dieu plus  profondément qu’un juif ou un musulman.  Il pense que des mystiques d’autres religions ont certainement approché Dieu de près, et que la charité et la fraternité ne sont pas l’apanage des chrétiens. Là aussi, le chrétien est dans la droite ligne des Évangiles.

L'Église catholique, un moteur de rassemblement universel

L'Église part de ce postulat : les hommes étant créés à l'image de Dieu, il est donc impossible d'invoquer Dieu sans se conduire fraternellement. Y compris à l'égard des autres religions, ou sensibilités chrétiennes.

L’Église catholique estime que son devoir est de faire tous ses efforts pour que s’accomplisse le grand mystère de cette unité que Jésus-Christ, à l’approche de son sacrifice, a demandée à son Père dans une ardente prière.

Ainsi, souvent taxé d'intolérance, le catholicisme est pourtant le moteur actif de rassemblement, outre des différentes tendances du christianisme,  de celui des croyants d'autres religions, notamment via le document Nostra Ætate, appel à la fraternité universelle, datant déjà… de 1965. Cette œuvre de rassemblement de l'Humanité croyante a été prolongée par le document signé par le pape François à Abu Dhabi en 2019, de concert avec le Grand Imam d'Al-Azhar, Ahmad Al-Tayeb. Outre le fait qu'il constitue une étape importante dans les relations entre le christianisme et l'islam, ce document met aussi en avant les valeurs de paix, de justice et de non-instrumentalisation de Dieu à des fins de violence.

Télécharger  le document Nostra Ætate : https://www.vatican.va/archive/hist_councils/ii_vatican_council/documents/vat-ii_decl_19651028_nostra-aetate_fr.html

Télécharger le document d'Abu Dhabi La Fraternité humaine pour la paix mondiale et la coexistence commune

https://www.vatican.va/content/francesco/fr/travels/2019/outside/documents/papa-francesco_20190204_documento-fratellanza-umana.html

Le christianisme tient ferme sa position face aux autres religions et croyances

Symboles des trois religions monothéistes

Le relativisme par rapport à la vérité, avec l’idée confuse et naïve que toutes les croyances (voire l’absence de toute croyance), vécues de bonne foi, se valent, du point de vue du salut, est faux.

Pourquoi le Christ serait-il mort sur la croix et aurait-il fondé son Église (au sens large du terme) si devaient être sauvés athées, musulmans, hindous, animistes, croyants en l'énergie des pierres, etc.,

  • au courant de Son existence

  • non empêchés par des pressions (voire violences) ,

refusant de croire en son existence, en son message, et encore moins de mettre en œuvre son contenu ?

Pourquoi le Christ aurait-il donné à ses apôtres la mission d'évangéliser, d'inciter à recevoir le baptême, s'il était possible d'être sauvé indifféremment quelle que soit la croyance ou l'absence de croyance ? 

Seul l'Amour que toutes les personnes ne croyant pas au Christ auront donné aux autres durant leur vie, semble un pare-feu suffisant pour mériter le salut éternel. Toutefois, Dieu reste libre de sauver qui il veut. Y compris ceux qui n'auront pas cru en Lui.

Christianisme et religions orientales

« L'Église catholique reconnaît la sagesse des religions orientales, surtout pour leur soif inépuisable de la sagesse mystérieuse et divine. Les Églises chrétiennes partagent un point de vue semblable avec les bouddhistes quant à l'insuffisance du monde et le besoin de mystique, de dévotion et de libération. »

Cependant la distance est grande avec les religions asiatiques pour lesquelles, l’individu n’existe pas, l’âme n’est qu’une parcelle du grand tout et s’y fond, le sage recherche non pas le dialogue d’Amour avec son Créateur mais le non-être, la disparition dans le Grand Tout.

 

Il n'y a pas de réincarnation

Jamais nous ne voyons Jésus ou l’un de ses disciples, prononcer une parole qui a trait, de près ou de loin, à la réincarnation. L'Ancient Testament (première partie de la Bible) ne contient pas, lui non plus, la moindre trace liée à une éventuelle réincarnation. Elle n'existe tout simplement pas car le message de Dieu est clair : la vie sur terre n'est qu'une courte étape et la vraie vie commence après la mort, immédiatement après le jugement de l'âme, équitable, devant Dieu : l'âme vit ensuite soit la vie éternelle avec et dans la densité d'Amour de Dieu, soit la mort éternelle qui est en fait une vie éternelle éloignée de Dieu dans la densité du Mal.

La vie est donc quelque chose de sérieux. Nous avons à y préparer notre éternité. Si nous ratons cette vie, nous n’aurons pas d’examen de repêchage, nous ne pourrons pas la recommencer en nous réincarnant dans une autre existence. Nous aurons à rendre des comptes sur la façon dont nous aurons laissé l’amour prendre de la place dans notre cœur et dans nos actes.

C’est vrai, il y a des jeunes qui sont trop tôt fauchés par la mort. Ne doivent-ils pas jouir d’une autre vie ? Et ceux qui ne comprennent que sur le tard, à la toute dernière extrémité, qu’ils ont fait fausse route ? Dieu ne va-t-il pas leur accorder la possibilité de réparer dans une autre existence toutes les erreurs, toutes les bêtises de leur vie ?

Devant le Seigneur « un jour est comme mille ans et mille ans comme un jour » (2 P 3, 8). Le Dieu de la Bible aime parfois se jouer du temps lorsqu’il s’agit de guérir ses enfants, dans leur corps (guérison instantanée) ou dans leur cœur (conversion foudroyante). C’est l’histoire du Bon Larron, crucifié sur une croix à côté de Jésus : dans les ultimes secondes de son existence, il a réparé toutes les déviances de sa vie et Jésus lui annonce qu'au moment-même de sa mort, il va l'accueillir au paradis.

Bien mieux, nous pouvons penser que le plus bel acte de notre pèlerinage sur terre s’accomplit à l’instant de notre mort, lorsque nous entrons dans notre éternité. C’est alors que nous disons définitivement « oui » ou « non » à la Vérité, à Dieu. Cet acte est préparé par tous les actes libres de notre vie,  mais il est plus important qu’eux, il les résume, il les reprend, il en fait un bouquet définitif.

Il arrive aussi que Dieu se joue du temps et de la mort pour donner une seconde chance de vivre l’amour à une personne et pour qu'elle témoigne de ce qu'elle vu (voir sur ce site les témoignages de "sorties de corps" ou expériences de mort imminente, par exemple celle de la cinéaste Natalie Sarraco). C’est à la fois une deuxième chance donnée à la personne et un canal de diffusion de l'information pour que personne ne puisse dire "je n'étais pas au courant". Mais Jésus ne renvoie que peu de témoins morts, à la vie, pour lui servir de témoins, cela reste donc une exception.

La réincarnation, par conséquent, n'existe pas.

 

Pour aller plus loin au sujet de la réincarnation, un article signé Aleteia : L'hypothèse d'une réincarnation est-elle crédible ?

Christianisme et islam

« L'Église catholique déclare aussi qu'elle estime les musulmans pour leur adoration d'un seul dieu qui a parlé aux hommes. Elle estime leur attente du jour du jugement, leur jeûne, leur aumône et leur prière. » Nostra Ætate postule qu'« Allah est le même dieu que le Dieu d'Abraham dans l'Ancien Testament. Bien qu’ils ne reconnaissent pas Jésus comme Dieu, ils [les musulmans] le vénèrent comme prophète ; ils honorent sa Mère virginale, Marie, et parfois même l’invoquent avec piété. De plus, ils attendent le jour du jugement, où Dieu rétribuera tous les hommes après les avoir ressuscités. Aussi ont-ils en estime la vie morale et rendent-ils un culte à Dieu, surtout par la prière, l’aumône et le jeûne. »

 

Mais l'islam, c'est la négation de la Résurrection du Christ

Seule parmi toutes les autres religions, l’islam prétend avoir également bénéficié d’une Révélation privilégiée de Dieu. Mais, puisque nous avons des raisons de croire que Dieu a vraiment ressuscité Jésus d’entre les morts sous Ponce Pilate, les chrétiens ne pas croire qu’IL a envoyé un homme au VIIe siècle de notre ère pour nous dire le contraire. Or Jésus est ressuscité, Vivant, et Mahomet est dans sa tombe, comme Bouddha d'ailleurs.

 

L'Islam, c'est aussi la totale soumission à Dieu

La mystique musulmane insiste beaucoup sur l'abandon à la volonté de Dieu, sur la soumission à Dieu (telle est d’ailleurs la signification du mot islam). Or la volonté de Dieu, c’est que nous révoltions contre le mal sous toutes ses formes, ce mal qui abîme la création et déplaît à son Créateur. Le chrétien est appelé à éliminer le plus possible les maux dont il souffre lui-même ou qui affectent son prochain, mais il est également appelé à conserver au milieu de ses épreuves une foi inébranlable en la tendresse de Dieu. « Les convertis de l’islam au christianisme peuvent témoigner de l’expérience bouleversante que représente le passage de la soumission aveugle prônée par le Coran à la sagesse présentée par les Évangiles, et de la crainte dans l’observance du "permis et du défendu" à l’amour des Béatitudes et du libre sacrifice. » (Père de Blignières)

Pendant toute sa vie sur terre, le Christ a éradiqué le mal, convertissant, guérissant, il a vaincu le mal pour nous sur la croix, et il continue à vouloir nous retirer des griffes du mal en nous attirant sans cesse à lui. Dieu et les chrétiens sont les adversaires du mal contre lesquels ils combattent sans cesse, car, en arrière-plan se livre un formidable combat : les puissances du mal qui veulent arracher le plus possible d'hommes au Christ.

L'islam ne voit Dieu que comme une entité à adorer et surtout pas Dieu comme un Père

L'islam se vente d'être l'unique religion qui ne donne pas à Dieu le titre de "Père". En effet, le Coran donne 99 titres à Allah et aucun de ces titres n'est "Père". C'est pourquoi l'islam signifie soumission et c'est pourquoi Allah affirme : « Et Je n'ai créé les djinns et les humains que pour qu'ils M'adorent » (Coran 51/56). Ceci explique cela. En effet, aucun parent n'impose à ses enfants le culte de l'exalter ; il ne les a pas engendrés pour cela. Parce qu'il les a engendrés pour les aimer. Si les chrétiens exaltent Dieu, ce n'est pas parce qu'il le leur a demandé, c'est parce qu'ils l'aiment librement, l'admirent pour sa grandeur, sa bonté, son amour, et donc… le lui rendent bien. Dieu est toute-puissance adorable en même temps qu’amour. Dieu n'oblige personne à l'adorer, mais il mérite tellement de l'être ! Et tous ceux qui l'ont rencontré voient grandir en eux, peu à peu, une grande admiration, une reconnaissance envers lui et désirent l'adorer pour ce qu'Il est. Ce sentiment se heurte ensuite à la limite humaine car seule une infime partie de la mesure de Dieu, de sa transcendance, sont à portée de l'homme. Et puis, à un moment ou un autre de sa découverte de Dieu, de son cheminement avec lui, l'homme qui a rencontré Dieu lui dit : « Tu es Tout Puissant, d'une grandeur, d'une beauté infinie, et tu t'intéresses à nous, à moi, tu m'aimes, comment cela est-il possible ? » De cette question sans réponse naît l'adoration, libre et désirée du fond du cœur...

Dieu est père même quand il manie le fouet. Qui aime bien châtie bien. « Car l'Éternel châtie celui qu'il aime, Comme un père l'enfant qu'il chérit. » (Proverbes 3, 12) ou « Celui qui ménage sa verge hait son fils, Mais celui qui l'aime cherche à le corriger. » (Proverbes 3, 24). « Car le Seigneur châtie celui qu'il aime, Et il frappe de la verge tous ceux qu'il reconnaît pour ses fils. » (Hébreux 12, 6). Il y a beaucoup de versets comme ça dans la Bible. Dieu, en fait, ne punit pas, mais il enseigne afin de sauver. C'est son but : sauver. Nous sauver de nous-mêmes. Il agit donc comme un Père, qui "punit" lorsque cela est absolument nécessaire, mais jamais de gaité de cœur.

Être aimé par Dieu comme un père ne signifie nullement que nous pouvons impunément vivre dans le péché. Il veut seulement que nous l’aimions en retour de son amour qui dépasse tout entendement humain. Nous mourons sans connaître la totalité de cet amour infini.

Pour de nombreuses personnes (et Satan fait tout pour qu'ils le croient), Dieu n’est que la projection des puissants terrestres à qui il faut se soumettre aveuglement, sous peine de punition ou disgrâce.

Alors qu'au contraire, Dieu souhaite être aimé comme nous aimons nos parents : nous les aimons en retour sans qu’ils ne nous menacent ni par un enfer ou ne nous promettent des bénédictions. Nous les aimons tout simplement parce qu’ils nous aiment. Aux yeux de Notre Père Céleste, cette relation d’amour pur n'a pas de prix. Rien à voir, donc, avec un Dieu lointain, 

« Le fait que la religion et la morale soient accessibles à l’intelligence humaine, lorsque l’homme a l'amour de la vérité, se manifeste dans le processus des conversions. On y trouve toujours des "signes de crédibilité" qui, sous l’action du Saint-Esprit, inclinent l’intelligence à s’ouvrir à la lumière de la foi donnée par Dieu. L’un de ces signes revient en tout temps, mais il est spécialement présent dans les récits de ceux qui viennent de la sphère culturelle de l’islam : le Christ s’est penché sur les souffrances et a porté le mal des autres (spécialement le mal suprême qu’est le péché) ; et, dans un monde marqué par le pouvoir, la violence et le sexe, des chrétiens marchent sur cette voie. Pour celui qui découvre cela, il y a un choc salutaire ou une illumination progressive : la religion qui fait de telles choses ne peut venir des hommes, elle vient de Dieu ! » (Père de Blignières). Ceci est bien souvent le départ du chemin de conversion des musulmans. Ils reçoivent ensuite, pour la plupart, un signe personnel (songe, vision, locution).

Lire leurs témoignages sur ce site, page  Témoignages de conversion.

Musulmans, pour savoir si Issa est bien le Fils de Dieu comme le prétendent les chrétiens, lire la page sur ce site Issa est le Fils de Dieu

Pour aller plus loin au sujet de l'islam

- Un article signé Aleteia : Que penser de l'Islam ?

 

- L'Association Mission Ismérie, qui accompagne les musulmans se posant des questions sur le christianisme, sur Jésus, et ceux d'entre eux qui choisissent de devenir chrétiens, est à l'initiative d'un débat vidéo très intéressant qui a rassemblé des érudits sur le thème "Islam - Occident, où va-t-on ?

 

Plusieurs sujets sont traités :

  • Islam - Occident, différences, incompatibilités et incompréhension

Annie Laurent a montré combien l’islam, par ses textes sacrés, par sa doctrine, par leur application, avait produit une anthropologie, une sociologie très éloignée, et en bien des points incompatible, avec celles d’une France façonnée par le christianisme : statut de la personne, citoyenneté, liberté, relations homme-femme… En ce sens, la présence et l’enracinement de l’islam en Europe constituent « un des plus grands défis auquel elle est confrontée », qui place les Européens, musulmans et non-musulmans, devant leur responsabilité historique quant l’évolution d’un monde musulman travaillé par divers courants religieux, notamment des mouvements très durs.

La foi chrétienne a produit en effet des sociétés gouvernées par de grands principes, même dans leur sécularisation, qui semblent en effet bien peu compatibles avec ceux de l’islam : ceux d’une vision universelle de l’Homme, d’une « humanité appelée à l’unité dans sa diversité », constituée de « personnes » égales en dignité – et de là en droit. Alors que l’islam institue un différentialisme religieux, et ne conçoit son universalité que dans l’appartenance à la communauté musulmane (l’Oumma)... Lire et voir plus

 

  • Où va l'islam ?

Alexandre Del Valle a expliqué combien l’islam vit depuis plus d’un siècle une évolution considérable vers le rigorisme, le littéralisme et une application de plus en plus dure des textes, doctrines et principes décrits par Annie Laurent, écrasant la grande diversité des pratiques, des us et coutumes islamiques que les musulmans avaient mis en place au fil des siècles dans leurs pays, ainsi que les dynamiques d’ouverture et de rationalité lancées par certains musulmans. Ceci est dû à la montée en puissance d’un « islam standard » d’obédience « frèro-salafiste » qui inquiète l’Europe, mais qui touche l’islam au niveau mondial. Il a ainsi présenté une vaste et dense fresque des mouvements « fréro-salafistes », de leur travail d’influence dans le monde islamique et en Occident, de leurs intrications dans la géopolitique mondiale, et de la naïveté – voire de la perversité – d’élites occidentales qui les laissent s’infiltrer dans les failles, leur permettent de jouer leur partie, quand elles ne favorisent pas directement leur implantation.... Lire et voir plus

 

  • L'Occident au piège de ses contradictions

Philippe d’Iribarne a voulu nuancer certains des constats posés par Alexandre DEL VALLE sur l’aveuglement de l’Occident à son infiltration par les courants islamiques les plus durs. Cette attitude relève aussi de contradictions profondes à l’œuvre dans la pensée des Lumières mise en actes depuis plus de deux siècles, illustrées par ces ambivalences vis-à-vis d’un islam tantôt accueilli à bras ouverts, tantôt vilipendé. L’Occident s’est en effet construit sur l’usage de la raison, l’analyse lucide du « monde comme il est », particulièrement développées par les Lumières, qui entrent en contradiction avec une certaine application politique et sociale du principe d’égalité qu’elles ont promu. Tout spécialement « l’égalité des religions, solennellement proclamée, constituant un aspect fondamental de notre vie politique ». Une famille de pensée, majoritaire dans la société, considère ainsi qu’un traitement inégal relèverait de la « discrimination », de la « stigmatisation ». L’islam peut ainsi« faire entrer en contrebande, au nom de la liberté de conscience et de religion, tout un ensemble qui n’a rien à voir avec cela mais qui relève de la construction d’un ordre social et politique refusant la liberté, l’égalité et la fraternité ». Ce devrait donc être le rôle raisonnable des pouvoirs publics de s’attacher alors à distinguer la part religieuse de l’islam (les 5 piliers), qui ne pose pas de problème, y compris dans l’opinion publique, de la part de l’ordre social et politique islamique qui n’a pas sa place en Occident... Lire et voir plus

 

  • Quelle place pour l'islam dans la cité ?

Xavier LEMOINE a en quelque sorte répondu à la délicate question qui lui était posée en en inversant la perspective. Puisant dans ses vingt années d’expérience d’élu et responsble de terrain à Montfermeil, territoire où « 40% des habitants sont de culture ou de confession musulmane, et 60 à 90% des enfants des écoles », il a montré qu’il est possible de donner la France à aimer à tous si l’on agit selon des principes de bon sens, de réalité et de respect des personnes. C’est une action très exigeante, et qui requiert une certaine force morale pour la mettre œuvre, Xavier LEMOINE avouant alors qu’il trouvait cette force dans son amour pour la France et dans sa foi chrétienne... Lire et voir plus

 

 

  • Proposer la France aux musulmans ?

La table ronde finale a réuni trois personnalités d’arrière-plan musulman, françaises nées en France d’origine nord-africaines, devenues toutes trois chrétiennes. Depuis leurs parcours différents, leurs voix se sont complétées pour s’unir et conclure un colloque très politique en l’ouvrant à une dimension spirituelle essentielle. Répondant à la fois aux questions « proposer la France aux musulmans ? » et « Islam-Occident : où va-t-on ? », ils ont expliqué combien, certes oui, la conversion à la foi catholique peut se révéler décisive pour développer l’amour de la France chez des personnes d’arrière-plan musulman portées pour certaines par leur culture ou leur religion à un certain ressentiment envers leur pays. Toutefois, il ne faut pas tomber dans la caricature... Lire et voir plus

Christianisme et juifs

« Le peuple qui reçut les alliances et les promesses et dont le Christ est né selon la chair (Rom. 9, 4-5) ; peuple élu de Dieu et qui lui est très cher en raison de ses ancêtres, car les dons et la vocation de Dieu sont sans repentance. » (Rom. 11, 28-29)

Donc un lien tout particulier lie les chrétiens au peuple juif car, souligne Lumen Gentium « ceux qui ont foi dans le Christ, il a voulu les rassembler en la sainte Eglise …admirablement préparée dans l’histoire du peuple d’Israël et l’ancienne Alliance. »

 

« L'Église croit que le Christ a réconcilié les Juifs et les Gentils par sa croix et en lui-même des deux a fait un seul. » (Eph 2, 14-16). Elle cite l'apôtre Paul qui rappelle que le peuple juif est toujours très cher à Dieu (Romains, 9, 4-5). Même si, durant la Passion du Christ, des autorités juives et leurs partisans ont poussé à la mort du Christ, cela ne peut être imputé aux Juifs vivant alors, ni aux Juifs de notre temps, poursuit la déclaration. Par ce document, l'Église qui « réprouve toutes les persécutions contre tous les hommes », déplore les haines, persécutions et manifestations d'antisémitisme qui ont été dirigées contre les Juifs.

 

Jean-Paul II a dit : « La rencontre d’Edith Stein [juive qui s'est convertie au catholicisme et est devenue religieuse sous le nom de Bénédicte de la Croix, avant d'être exécutée par les nazis] avec le christianisme ne la conduit pas à renier ses racines juives, mais les lui fait plutôt redécouvrir en plénitude… sainte Thérèse-Bénédicte de la Croix a vécu comme une participation personnelle à la croix sa déportation et son exécution dans le tristement célèbre camp d’Auschwitz-Birkenau…  »

Pour lire, sur ce site des témoignages de juifs convertis au christianisme, rendez-vous sur la page Témoignages de conversion

Juifs qui vous posez des questions au sujet de Yeshua, serait-il le Messie, lire sur ce site Yeshua Hamashiah

Croyances déviantes basées sur le Christ

La foi chrétienne ne peut pas accepter des « révélations » qui prétendent dépasser ou corriger la Révélation dont le Christ est l’achèvement. C’est le cas de certaines religions non chrétiennes et aussi de certaines sectes récentes soi-disant chrétiennes, qui se fondent sur de telles « révélations ». Elle accueille néanmoins tous les hommes.

Le cœur de tout homme est travaillé par Dieu, même celui de ceux qui ne croient pas en Lui

« Dieu donne à tous la vie, le souffle et toutes choses et le Sauveur veut le salut de tous les hommes. Aussi ceux qui, sans faute de leur part, ignorent l’Evangile du Christ et son Eglise et cependant cherchent Dieu d’un cœur sincère et qui, sous l’influence de la grâce, s’efforcent d’accomplir dans leurs actes sa volonté qu’ils connaissent par les injonctions de leur conscience, ceux-là aussi peuvent obtenir le salut éternel. Et la divine Providence ne refuse pas les secours nécessaires au salut à ceux qui ne sont pas encore parvenus, sans qu’il y ait de leur faute, à la connaissance claire de Dieu et s’efforcent, avec l’aide de la grâce divine, de mener une vie droite. En effet, tout ce que l’on trouve chez eux de bon et de vrai, l’Eglise le considère comme un terrain propice à l’Evangile et un don de Celui qui éclaire tout homme, pour qu’il obtienne finalement la vie. » La vie éternelle bien sûr.

Deux bagues en or posées sur une Bible portant une croix dorée, alliance des différentes sensibilités chrétiennes

Les différentes sensibilités chrétiennes en voie d'union

Une seule et unique Église a été instituée par le Christ Seigneur. Dans cette seule et unique Église de Dieu apparurent dès l’origine, certaines scissions, que l’Apôtre Paul réprouve avec vigueur comme condamnables ; au cours des siècles suivants naquirent des dissensions plus graves… Donc, plusieurs Communions chrétiennes se présentent aux hommes comme les véritables héritières de Jésus-Christ, suite à des schismes dont l'origine était toujours, en fait de compte, l'égo.

Toutes ces sensibilités chrétiennes, certes, confessent qu’elles sont les disciples du Christ ; mais elles ont des attitudes différentes, suivent des chemins divers, comme si le Christ lui-même était partagé. Il est certain qu’une telle division s’oppose ouvertement à la volonté du Christ. 

Mais Dieu a suscité, au XXe siècle, un mouvement d'unité appelé mouvement œcuménique, porté en partie par un autre mouvement, le Renouveau Charismatique. Ce dernier a considérablement abaissé les barrières entre les différentes sensibilités chrétiennes et, parmi les jeunes générations, Dieu a suscité une étape supplémentaire : une véritable union. On assiste à présent à des soirées live sur YouTube, des rassemblements, où évangéliques, catholiques, protestants partagent ensemble leur amour du Christ qui est leur ciment, et ce, dans une grande tolérance. La France est à l'avant-garde de ce mouvement. Dans le cœur de ces jeunes générations, Dieu a mis un feu très ardent qui les fait aspirer à une Église de Dieu, une visible, vraiment universelle, envoyée au monde entier pour qu’il se convertisse à l’Évangile et qu’il soit ainsi sauvé pour la gloire Dieu.

Cependant l'Église catholique reflète le visage du Christ

« Si Dieu a révélé une religion, celle-là aura des titres à se dire « vraie », qui intégrera et unifiera les divers aspects du réel : la nature et la grâce, la raison et la foi, la personne et la société, l’intelligence et l’amour. Le rayonnement de cette complexité dans l’unité frappe ceux qui ont connu le Christ par des communautés protestantes. Ils découvrent que, malgré l’indignité et les fautes énormes des catholiques, notamment celles de leurs pasteurs, c’est l’Église romaine qui reflète le visage du Christ : dans son unité surhumaine, dans sa catholicité étonnante, dans sa stabilité éprouvée au feu des persécutions. » (Père de Blignières=

Mains de chrétiens de différentes nations unies sur une Bible, l'église du Christ étendue au monde entier

L'Église du Christ, qui aurait dû mourir 1 000 fois, s'est étendue au monde entier et renaît continuellement de toute cendre

Le message a été accueilli dans des civilisations extrêmement différentes les unes des autres. L’Église et le message évangélique sont parvenus aux confins de la terre jusque dans les terres les plus reculées, et rien ne l’a fait couler. Un jour, tout en colère contre le secrétaire d’État du pape Pie VII, Napoléon lui dit, en tapant rageusement le pied par terre : « Je détruirai votre église ! »

« Sire, lui répondit le cardinal Consalvi, il y a vingt siècles que nous faisons nous-mêmes tout ce que nous pouvons pour cela et nous n’y parvenons pas. »

« Pourquoi avoir invité les peuples des autres continents à abandonner leurs vieux rites religieux pour embrasser une religion venue d’Europe ? Quel impérialisme ! » Ce reproche tombe de lui-même lorsqu’on se souvient qu’en arrivant dans un pays, une équipe de missionnaires ne prétend pas lui apporter une doctrine religieuse plus intelligente, plus élaborée que la sienne. L’évangélisation chrétienne est essentiellement la diffusion d’une Nouvelle :
« Oyez… Écoutez ce qui est arrivé en Asie il y a plusieurs siècles : Jésus de Nazareth s’est présenté comme le Messie annoncé par les Prophètes d’Israël, Il est passé en faisant le bien. Il est mort sur une croix pour nos péchés sous Ponce Pilate, mais Il est ressuscité et ses apôtres l’ont vu et touché après sa Résurrection d’entre les morts. Cela ne s’est pas passé chez nous, mais des missionnaires sont venus l’annoncer à nos ancêtres, les Gaulois, il y a bien longtemps, tel cet Irénée venu tout exprès d’Asie. Cette Bonne Nouvelle, nous vous l’annonçons à notre tour pour que vous puissiez, comme nous, croire à la venue de Dieu parmi nous et vivre de sa vie. »

 

« Toutes les religions sont les voies où l’homme cherche Dieu. Elles sont multiples. La Révélation chrétienne est unique car c’est Dieu qui trouve l’homme », dit Paul Evdokimov dans Les âges de la vie spirituelle
 
« La conviction que Dieu peut sauver tous les hommes, quelle que soit leur religion, n’évacue pas dans le cœur du chrétien le désir de partager sa découverte du Christ ressuscité. « La foi au Christ n’est pas une opinion sans importance qu’il serait loisible de garder cachée dans son mouchoir, parce qu’on peut très bien vivre sans la connaître ou sans prendre position face à elle, comme il en va pour d’innombrables questions facultatives. Une révélation en acte, un Dieu fait homme, la mort vaincue, le mal guérissable, le bonheur éternel offert, ça doit se crier sur les toits. » A. Manaranche, Rue de l’Évangile

 

Les conversions en grand nombre auxquelles on assiste en Orient, notamment dans les pays musulmans (une vraie révolution, silencieuse vu ce que risquent les convertis au christianisme : persécutions, menaces de mort, etc.), ainsi que le dynamisme en Afrique, et enfin une renaissance de la foi en Occident que l'on voit poindre avec puissance (jeunes générations ayant fait une rencontre personnelle avec Jésus et ayant reçu de lui le don de prophétie, de guérison... voir à ce sujet, par exemple Notre-Dame Mère de la Lumière).

 

Nous sommes vraisemblablement à l'aube d'une grande renaissance de la foi en Occident, peut-être avec la France pour moteur. Une chose est certaine : jamais le Père ne permettra que la foi ne s'éteigne. Il restera des irréductibles : peut-être bien les descendants des Gaulois...

Pour aller plus loin sur le thème de la remarquable première expansion du christianisme, un article signé Aleteia : en quoi la première expansion du christianisme fut-elle remarquable ?

Portrait de Jésus tons sépia

Une expérience personnelle du Christ Vivant

D’une façon ou d’une autre, petit à petit ou brusquement, le chrétien est un homme qui a rencontré le Christ comme Quelqu’un de vivant
Vivre avec le Christ vivant et en Lui. Voici les deux termes qui expriment les deux façons fondamentales dont les disciples de Jésus vivement leur relation avec le Ressuscité. Il n’est pas seulement l’ami fidèle de tous les instants, présent à nos côtés, il vit en nous. Les sacrements sont le moyen privilégié de se laisser davantage envahir  et transformer par cette présence agissante. 
Une perception de la présence du Christ  à travers les signes qu’il nous envoie (miracles, puissance de la Parole de Dieu, conversions, signes personnels...)

Pourquoi les convertis sont-ils pénibles avec leur prosélytisme ? Le témoignage de la créatrice de ce site Jésus Sauve

Tous ceux qui ont fait une rencontre personnelle avec le Christ, en particulier les ex-athées, ne peuvent se retenir et veulent proclamer à tous ce qu'ils ont découvert et qui est, pour eux, LA grande nouvelle. Une nouvelle inimaginable, incroyable et cependant vraie : Dieu existe, Dieu m'aime, Dieu veut partager ma vie, vivre avec moi, et il veut me sauver ! Pour un athée, c'est une révolution.

C'est ce qu'il m'est arrivé personnellement [Talitha K. créatrice de ce site internet]. Et comme je ne peux pas proclamer cette incroyable nouvelle à chaque être humain de cette terre, j'ai choisi ce site internet comme témoignage de foi. Imaginez qu'avant 2018, je croyais que les religions étaient une fable pour esprits crédules et que Jésus n'avait jamais existé. Imaginez la puissance de LA RENCONTRE, puis l'amour, la passion et la fascination qui m'ont tenue aux tripes et en haleine pour vous restituer, seule, un peu plus de 90 pages de christianisme en seulement quatre ans de voyage avec Lui, moi qui ne savait quasiment rien à son sujet...

Pour aller encore plus loin

Des articles encore plus fouillés signés Aleteia pour aller encore plus loin sur le thème de Jésus, du christianisme :

Jésus est-il vraiment ressucité ?

Jésus est-il vraiment unique dans l'histoire des religions

Que signifie Fils de Dieu

Le Christ a-t-il voulu une église hiérarchisée et la primauté de l'apôtre Pierre ?

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